Est-ce une tradition russe datant des camps de concentration ?
(J'élimine celle-ci d'entrée de jeu : pas de « luxe » pour les prisonniers politiques et les autres, qu'ils fassent comme les animaux qu'ils sont, avaient dû décréter Staline et ses successeurs qu'admirait fort Jean-Paul Sartre !)
Ou la tradition datait-elle de l'ère stalinienne où, pour chaque tovarich déféquant, il fallait un policier du NKVD qui le surveillait au cas où il déféquerait des papiers compromettants qu'il aurait avalés au moment d'être arrêté ?
Ou encore est-ce une coutume russe de déféquer de concert ?
(Les Romains le faisaient également et ils avaient, paraît-il, des échanges très intéressants au moment où ils le faisaient à dix ou douze : saint Paul en aurait même profité (en tout bien tout honneur, malgré les rumeurs qui courent à son sujet) pour faire des conversions, grâce à des conversations).
Si c'est une coutume russe, on comprend que Poutine et le parlement de Russie aient fait une loi contre la propagande homosexuelle récemment.
Mais, en fin de compte, quelle est l'explication ?
Économiser sur le mur de séparation ou sur la construction de deux cubicules ?
Il semble que les autorités russes refusent dorénavant de répondre aux questions à ce sujet !
Est-ce encore un secret d'État ?
Qui nous éclairera ?
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