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Parlant dans son blogue (je vous renvoie à son billet, «Les poules de Léo-Paul», ici) d'une exposition consacrée au peintre Léo-Paul Tremblé à la Pulperie, ma femme présente une toile qui est celle que je préfère de la petite collection de son père, celle où l'on peut littéralement assister à la naissance d'une poule (voire de deux ou trois, et éventuellement de toute la nature) à partir d'un coup de pinceau ou deux.
J'aime ces tableaux où rien n'est lissé, où le faire («poièsis») n'est pas disparu derrière la représentation, où l'on ne cherche pas à représenter autre chose que le geste qui crée lui-même sans qu'on ait besoin d'infrarouge ou d'ultraviolet pour le voir.
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