La présence nombreuse de ces prélats homosexuels au Vatican explique sans doute la virulence des condamnations qui y sont proférées à l'égard de l'homosexualité, et l'intransigeance dont on y fait montre à l'égard des homosexuels.
Il règne sans doute, dans ce centre de l'Église catholique, une mentalité d'assiégés d'autant plus forte que les prélats homosexuels sont nombreux (ils l'ont toujours été), qu'ils occupent des postes influents à la Curie, et qu'il est urgent de préserver les apparences devant les scandales de pédophilie qui ternissent l'image de l'Église dans divers pays.
Les gens ont en effet tendance à confondre homosexualité et pédophilie.
Le fait que le gouvernement de l'Église est exclusivement masculin rend plus urgente encore cette préservation des apparences.
Quant aux «paroles malheureuses» et aux condamnations acrimonieuses prononcées par les cardinaux, archevêques et évêques des pays catholiques, elle tiennent sans doute en grande partie à la crainte que leurs carrières éventuelles à Rome, voire leur nomination à de hautes fonctions, soient entravées par la présence de ces prélats homosexuels à divers niveaux, parfois élevés, du gouvernement central de l'Église romaine.
Il craignent sans doute de déplaire et de voir leurs «qualités» ecclésiastiques dépréciées ou ignorées.
Peut-être croient-ils que seuls peuvent être appelés auprès du pape et convoqués en sa sacrée présence ceux qui, parmi eux, plaisent à ces gens.
Avec raison?
Pour ma part, je vois dans cette virulence du Vatican à l'égard des homosexuels et de leurs pratiques la confirmation de certaines théories et observations psychologiques: on combat dans les autres ce qu'on craint (inconsciemment ou consciemment) à l'intérieur de soi, et on le combat d'autant plus fort, avec d'autant plus de virulence et de violence, que ce qu'on craint en soi menace de prendre le contrôle de soi ou d'éclater malgré soi au grand jour.
On détourne l'attention.
L'attention des autres sûrement.
Peut-être la sienne propre.
Accuser les autres permet de cacher sa propre culpabilité ou son propre sentiment de culpabilité.
(L'article de Yahoo Québec est ici).
Il règne sans doute, dans ce centre de l'Église catholique, une mentalité d'assiégés d'autant plus forte que les prélats homosexuels sont nombreux (ils l'ont toujours été), qu'ils occupent des postes influents à la Curie, et qu'il est urgent de préserver les apparences devant les scandales de pédophilie qui ternissent l'image de l'Église dans divers pays.
Les gens ont en effet tendance à confondre homosexualité et pédophilie.
Le fait que le gouvernement de l'Église est exclusivement masculin rend plus urgente encore cette préservation des apparences.
Quant aux «paroles malheureuses» et aux condamnations acrimonieuses prononcées par les cardinaux, archevêques et évêques des pays catholiques, elle tiennent sans doute en grande partie à la crainte que leurs carrières éventuelles à Rome, voire leur nomination à de hautes fonctions, soient entravées par la présence de ces prélats homosexuels à divers niveaux, parfois élevés, du gouvernement central de l'Église romaine.
Il craignent sans doute de déplaire et de voir leurs «qualités» ecclésiastiques dépréciées ou ignorées.
Peut-être croient-ils que seuls peuvent être appelés auprès du pape et convoqués en sa sacrée présence ceux qui, parmi eux, plaisent à ces gens.
Avec raison?
Pour ma part, je vois dans cette virulence du Vatican à l'égard des homosexuels et de leurs pratiques la confirmation de certaines théories et observations psychologiques: on combat dans les autres ce qu'on craint (inconsciemment ou consciemment) à l'intérieur de soi, et on le combat d'autant plus fort, avec d'autant plus de virulence et de violence, que ce qu'on craint en soi menace de prendre le contrôle de soi ou d'éclater malgré soi au grand jour.
On détourne l'attention.
L'attention des autres sûrement.
Peut-être la sienne propre.
Accuser les autres permet de cacher sa propre culpabilité ou son propre sentiment de culpabilité.
(L'article de Yahoo Québec est ici).
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire