Je voulais vous présenter la cathédrale Saint-Patrick à New York pour Pâques.
Pourquoi ?
À cause de « Pâques à New York » de Blaise Cendrars que je ne peux pas vous présenter chaque année (je vous l'ai déjà présenté ici).
À cause, aussi, du lien qui existe dans mon esprit entre New York et Pâques.
Car, dans ma jeunesse, chaque année, aux nouvelles radiophoniques, on parlait des chapeaux extravagants que portaient les New-Yorkaises, dans la 5e Avenue, à l'occasion de Pâques.
(Pour se rendre à la messe ou dans une quelconque cérémonie religieuse d'une quelconque religion chrétienne car le chapeau était exigé pour les femmes à l'époque dans les églises et autres temples, Dieu sait pour quelle raison : sans doute jugeait-on, comme les Juifs et les Musulmans, avec lesquels les Chrétiens partagent l'origine de leur religion, que les cheveux des femmes contenaient quelque chose de diabolique qui pouvait damner les hommes, ce que je suis bien tenté de croire).
Dans cette photo la cathédrale est vue du sommet du bâtiment le plus haut du Rockefeller Center (page en anglais au bout de ce lien), en abrégé anglais, avec un jeu de mot, le « Top of the Rock » (page en anglais au bout de ce lien).
(On peut lire « Top of the Rock » à la fois comme le « sommet du Rockefeller Center » et comme le « sommet du rocher ». Désopilant, non ?)
Je vous la présente enfin parce que, comme vous le constatez, la cathédrale, quoique d'architecture gothique, ne comporte aucun arc-boutant, ce qui est assez étonnant pour une cathédrale gothique.
L'explication ? Les cathédrales gothiques d'Amérique du Nord (au Québec aussi) ont toutes été construites aux 19e et au 20e siècles, et on savait, en ces siècles, construire des hauts murs qui tiennent sans recourir aux arc-boutants.
C'est la raison pour laquelle on peut aussi construire des tours et des gratte-ciels plus hauts que les cathédrales, d'où l'on peut voir celles-ci, comme ici, de haut.
Pourquoi ?
À cause de « Pâques à New York » de Blaise Cendrars que je ne peux pas vous présenter chaque année (je vous l'ai déjà présenté ici).
À cause, aussi, du lien qui existe dans mon esprit entre New York et Pâques.
Car, dans ma jeunesse, chaque année, aux nouvelles radiophoniques, on parlait des chapeaux extravagants que portaient les New-Yorkaises, dans la 5e Avenue, à l'occasion de Pâques.
(Pour se rendre à la messe ou dans une quelconque cérémonie religieuse d'une quelconque religion chrétienne car le chapeau était exigé pour les femmes à l'époque dans les églises et autres temples, Dieu sait pour quelle raison : sans doute jugeait-on, comme les Juifs et les Musulmans, avec lesquels les Chrétiens partagent l'origine de leur religion, que les cheveux des femmes contenaient quelque chose de diabolique qui pouvait damner les hommes, ce que je suis bien tenté de croire).
Dans cette photo la cathédrale est vue du sommet du bâtiment le plus haut du Rockefeller Center (page en anglais au bout de ce lien), en abrégé anglais, avec un jeu de mot, le « Top of the Rock » (page en anglais au bout de ce lien).
(On peut lire « Top of the Rock » à la fois comme le « sommet du Rockefeller Center » et comme le « sommet du rocher ». Désopilant, non ?)
Je vous la présente enfin parce que, comme vous le constatez, la cathédrale, quoique d'architecture gothique, ne comporte aucun arc-boutant, ce qui est assez étonnant pour une cathédrale gothique.
L'explication ? Les cathédrales gothiques d'Amérique du Nord (au Québec aussi) ont toutes été construites aux 19e et au 20e siècles, et on savait, en ces siècles, construire des hauts murs qui tiennent sans recourir aux arc-boutants.
C'est la raison pour laquelle on peut aussi construire des tours et des gratte-ciels plus hauts que les cathédrales, d'où l'on peut voir celles-ci, comme ici, de haut.
2 commentaires:
Mais la dentelle est sauve, que l'on soit croyant ou non, l' art sacré est un sacré art !
Surtout que cet art (l'«opus francigenum», l'«art de la 'gent' française», le véritable nom de ce que l'on connaît sous le nom impropre d'«art gothique») a donné naissance à l'art urbain moderne.
Il est aussi fécond que beau.
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