Ce qui m'a d'abord attiré dans ce livre c'est son titre, «The Emperor of All Maladies» (excellent résumé en anglais au bout de ce lien, et une vidéo de l'auteur).
Parce que, écrit en anglais, il utilise le mot «maladies» que je ne savais pas être un mot anglais (évidemment c'est surtout un mot du français auquel l'anglais l'a emprunté à un moment ou l'autre de l'histoire, comme il a emprunté la majorité de son vocabulaire).
Personnellement j'utilise«diseases» quand je veux parler de maladies en anglais (mais cela m'arrive rarement et, de toute façon, ce mot provient du mot «désaises», «inconfort», en ancien français)
Ces histoires d'emprunt de mots m'intéressent vraiment.
Puis j'ai lu le résumé que Books en présente (ici) et que je vais vous rapporter tellement il est bref (voir plus bas).
En substance ce qu'il dit c'est que l'expansion considérable du cancer dans l'humanité est une sorte de bonne nouvelle car toutes les maladies dont l'homme mourait jusqu'à présent avant d'atteindre la vieillesse ont été vaincues une à une.
Les humains atteignent maintenant une grande vieillesse et ils attrapent le cancer.
Et en meurent puisqu'il faut bien mourir de quelque chose.
Le cancer est aussi vieux que l’humanité. C’est néanmoins «la maladie moderne par excellence». Tel est le constat de l’oncologue Siddhartha Mukherjee dans The Emperor of All Maladies. Il y montre comment le cancer, préoccupation longtemps secondaire, est devenu l’ennemi à abattre dans la seconde moitié du XXe siècle. Car si, dans les années 1970, Richard Nixon lui déclara une «guerre» censée faire oublier celle du Vietnam, l’humanité avait auparavant d’autres priorités: la peste, le choléra, la fièvre jaune ou encore la tuberculose. «L’augmentation de la mortalité liée au cancer est, en un sens, une très bonne nouvelle, en conclut le New Yorker. Avec l’allongement de la durée de vie et l’éradication de nombreuses maladies contagieuses, nous sommes plus susceptibles de contracter des pathologies qui ne se développent qu’à partir d’un certain âge.»
Parce que, écrit en anglais, il utilise le mot «maladies» que je ne savais pas être un mot anglais (évidemment c'est surtout un mot du français auquel l'anglais l'a emprunté à un moment ou l'autre de l'histoire, comme il a emprunté la majorité de son vocabulaire).
Personnellement j'utilise«diseases» quand je veux parler de maladies en anglais (mais cela m'arrive rarement et, de toute façon, ce mot provient du mot «désaises», «inconfort», en ancien français)
Ces histoires d'emprunt de mots m'intéressent vraiment.
Puis j'ai lu le résumé que Books en présente (ici) et que je vais vous rapporter tellement il est bref (voir plus bas).
En substance ce qu'il dit c'est que l'expansion considérable du cancer dans l'humanité est une sorte de bonne nouvelle car toutes les maladies dont l'homme mourait jusqu'à présent avant d'atteindre la vieillesse ont été vaincues une à une.
Les humains atteignent maintenant une grande vieillesse et ils attrapent le cancer.
Et en meurent puisqu'il faut bien mourir de quelque chose.
Le cancer est aussi vieux que l’humanité. C’est néanmoins «la maladie moderne par excellence». Tel est le constat de l’oncologue Siddhartha Mukherjee dans The Emperor of All Maladies. Il y montre comment le cancer, préoccupation longtemps secondaire, est devenu l’ennemi à abattre dans la seconde moitié du XXe siècle. Car si, dans les années 1970, Richard Nixon lui déclara une «guerre» censée faire oublier celle du Vietnam, l’humanité avait auparavant d’autres priorités: la peste, le choléra, la fièvre jaune ou encore la tuberculose. «L’augmentation de la mortalité liée au cancer est, en un sens, une très bonne nouvelle, en conclut le New Yorker. Avec l’allongement de la durée de vie et l’éradication de nombreuses maladies contagieuses, nous sommes plus susceptibles de contracter des pathologies qui ne se développent qu’à partir d’un certain âge.»
2 commentaires:
Certains docteurs comme Mimoun pensent que si nous sommes à l' écoute de notre corps et menons une vie assumée et sans non dits nous pouvons l' éviter, cette plaie, je ne sais que penser de cette théorie.
Je ne sais pas.
Mais j'ai moi-même souffert d'un cancer bénin à cause duquel on m'a enlevé chirurgicalement la glande thyroïde.
Trop de non-dits?
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