C'est la prière que je préconise.
Si tout le monde s'y tenait, les religions disparaîtraient enfin et l'on pourrait peut-être trouver un visage décent à Dieu et non pas le visage repoussant des papes, évêques, prêtres, pasteurs et autres imams et ayatollahs.
Et voir le mensonge du discours que tous ces traîtres bouffons lui prêtent.
Et peut-être y croire et faire le bien, tenter de rendre heureux tous les êtres de l'univers s'ils y consentent.
Cela reprend un peu le « Notre Père » de Jacques Prévert qu'il serait peut-être utile de rappeler ici :
(Le chat est un personnage de Philippe Geluck et apparaît ici).
Si tout le monde s'y tenait, les religions disparaîtraient enfin et l'on pourrait peut-être trouver un visage décent à Dieu et non pas le visage repoussant des papes, évêques, prêtres, pasteurs et autres imams et ayatollahs.
Et voir le mensonge du discours que tous ces traîtres bouffons lui prêtent.
Et peut-être y croire et faire le bien, tenter de rendre heureux tous les êtres de l'univers s'ils y consentent.
Cela reprend un peu le « Notre Père » de Jacques Prévert qu'il serait peut-être utile de rappeler ici :
Notre Père...
Notre Père qui êtes aux cieux
Restez-y
Et nous nous resterons sur la terre
Qui est quelquefois si jolie
Avec ses mystères de New York
Et puis ses mystères de Paris
Qui valent bien celui de la Trinité
Avec son petit canal de l'0urcq
Sa grande muraille de Chine
Sa rivière de Morlaix
Ses bêtises de Cambrai
Avec son océan Pacifique
Et ses deux bassins aux Tuileries
Avec ses bons enfants et ses mauvais sujets
Avec toutes les merveilles du monde
Qui sont là
Simplement sur la terre
Offertes à tout le monde
Éparpillées
Émerveillées elles-mêmes d'être de telles merveilles
Et qui n’osent se l'avouer
Comme une jolie fille nue qui n'ose se montrer
Avec les épouvantables malheurs du monde
Qui sont légion
Avec leurs légionnaires
Avec leurs tortionnaires
Avec les maîtres de ce monde
Les maîtres avec leurs prêtres leurs traîtres et leurs reîtres
Avec les saisons
Avec les années
Avec les jolies filles et avec les vieux cons
Avec la paille de la misère pourrissant dans l’acier des canons.
Restez-y
Et nous nous resterons sur la terre
Qui est quelquefois si jolie
Avec ses mystères de New York
Et puis ses mystères de Paris
Qui valent bien celui de la Trinité
Avec son petit canal de l'0urcq
Sa grande muraille de Chine
Sa rivière de Morlaix
Ses bêtises de Cambrai
Avec son océan Pacifique
Et ses deux bassins aux Tuileries
Avec ses bons enfants et ses mauvais sujets
Avec toutes les merveilles du monde
Qui sont là
Simplement sur la terre
Offertes à tout le monde
Éparpillées
Émerveillées elles-mêmes d'être de telles merveilles
Et qui n’osent se l'avouer
Comme une jolie fille nue qui n'ose se montrer
Avec les épouvantables malheurs du monde
Qui sont légion
Avec leurs légionnaires
Avec leurs tortionnaires
Avec les maîtres de ce monde
Les maîtres avec leurs prêtres leurs traîtres et leurs reîtres
Avec les saisons
Avec les années
Avec les jolies filles et avec les vieux cons
Avec la paille de la misère pourrissant dans l’acier des canons.
(Le chat est un personnage de Philippe Geluck et apparaît ici).
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