Publicité très bien pensée en faveur de la lecture.
Mais elle ne convaincra que ceux qui sont déjà convaincus, comme toujours.
Les livres, on aime danser avec eux quand vos parents, votre famille, vos voisins, vos amis, à la limite toute la société à laquelle vous appartenez, aiment danser avec eux.
Au Québec, on a plutôt découragé la lecture depuis la reprise en main des habitants du pays par l'Église catholique après la conquête britannique (voire avant).
On décourageait même la lecture de la Bible, réservée aux personnes autorisées, capables de l'interpréter dans un sens « convenable », réservée aux représentants de l'Église somme toute (ceux qui savaient lire !).
À l'école, on ne permettait avec parcimonie que « l'histoire sainte », un recueil de morceaux choisis de l' « Ancien Testament » ne présentant aucun danger pour la domination ecclésiastique.
Quant aux autres livres, si ce n'était pas le missel, ils présentaient de graves dangers pour le salut éternel, il valait mieux ne pas les toucher même.
C'était l'œuvre de Satan.
Comme la danse !
Mais elle ne convaincra que ceux qui sont déjà convaincus, comme toujours.
Les livres, on aime danser avec eux quand vos parents, votre famille, vos voisins, vos amis, à la limite toute la société à laquelle vous appartenez, aiment danser avec eux.
Au Québec, on a plutôt découragé la lecture depuis la reprise en main des habitants du pays par l'Église catholique après la conquête britannique (voire avant).
On décourageait même la lecture de la Bible, réservée aux personnes autorisées, capables de l'interpréter dans un sens « convenable », réservée aux représentants de l'Église somme toute (ceux qui savaient lire !).
À l'école, on ne permettait avec parcimonie que « l'histoire sainte », un recueil de morceaux choisis de l' « Ancien Testament » ne présentant aucun danger pour la domination ecclésiastique.
Quant aux autres livres, si ce n'était pas le missel, ils présentaient de graves dangers pour le salut éternel, il valait mieux ne pas les toucher même.
C'était l'œuvre de Satan.
Comme la danse !
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