vendredi 29 avril 2011

Princesse, une simple profession du monde du divertissement

Je n'ai pas lu l'article dont vous voyez le chapeau* ci-dessus (si vous voulez le faire à ma place et me le résumer en commentaire -si cela vous chante- il est ici) mais le titre est tellement en accord avec ce que je pense que je vous le présente.
«Profession princesse»: il n'est pas question de pouvoir, il n'est pas question d'autorité, il est question de divertissement, comme au cinéma ou comme dans les représentations de comédies musicales (pas nécessairement «comiques» ces «comédies», n'est-ce pas?).
Devant les cérémonies de la monarchie britannique, on est devant un autre type de représentation, que je ne saurais nommer mais qui n'est pas de la réalité, seulement de la représentation.
Disons que les représentations royales britanniques sont mieux mises en scènes que les chiches représentations royales des pays scandinaves ou de la Belgique, voire de l'Espagne, par exemple, parce que le public britannique est ce qu'on appelle un «bon public», c'est-à-dire un public tout prêt à y «croire» (et qui y croit dans sa majorité) alors que les autres publics sont trop sceptiques ou désabusés.
Ou qu'ils respectent la «distanciation» brechtienne face à ces spectacles?

* Chapeau, c'est bien le mot qui convient pour une représentation royale britannique, ne trouvez-vous pas? Cet accessoire y sévit d'habitude endémiquement.

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