dimanche 17 août 2025

Température du jour à Arvida (17 août 2025)


 

Chariot de supermarché

En 1937, Sylvan Goldman, propriétaire de la chaîne de supermarchés Humpty Dumpty en Oklahoma, révolutionna l'expérience d'achat avec son invention : le chariot ! Frustré par les paniers lourds et encombrants, Goldman inventa un modèle doté d'un cadre métallique et de roues pour transporter deux paniers métalliques, rendant les courses plus pratiques et efficaces.
Au début, les clients hésitaient à utiliser ces chariots. Goldman engagea donc des personnes pour démontrer leurs avantages en les poussant dans le magasin. Au fil du temps, le chariot devint un outil incontournable dans les supermarchés du monde entier.
Cette innovation ne se contenta pas de simplifier les courses, elle transforma également l'agencement des magasins, les stratégies marketing et le comportement des consommateurs. Elle nous rappelle que même des idées simples peuvent avoir un impact durable sur la vie quotidienne.

L’été maintenant et dorénavant

Une métaphore de ce qu’a été l’été cette année et de ce qu’il sera dorénavant dans tous les pays du monde !

samedi 16 août 2025

Température du jour à Arvida (16 août 2025)


 

579 années pour construire la cathédrale de Milan

La construction de la cathédrale de Milan a duré 579 années, de 1386 à 1965 !
Celle de la Sagrada de Barcelone à peine un peu plus de 100 ans !
Les choses se sont accélérées depuis le Moyen Âge !
Ne nous plaignons pas !

Le podium des châteaux par pays européens


 

Poulets à crête « rockstars »


On a créé cette espèce de poulets ou de poules dont la crête échevelée les fait ressembler à des « rockstars », ėcrit-on !
Si leur viande a bon goût, ou leurs œufs, grand bien leur fasse !

Un patriote fnlandais dont chacun devrait suivre la leçon


Sur une photographie saisissante des années 1940, un homme d'à peine plus d'un mètre cinquante se tient aux côtés de son chien, Kille, enveloppé dans le silence de l'hiver – un homme dont la présence silencieuse a un jour ébranlé une armée entière. Il s'appelait Simo Häyhä et, bien qu'il fût originaire des paisibles forêts finlandaises, humble fermier et chasseur, il allait bientôt devenir une figure légendaire. Lorsque l'Union soviétique envahit la Finlande au cours du rude hiver de 1939, Simo ne se contenta pas de répondre à l'appel : il disparut dans la neige et devint quelqu'un d'autre. Armé d'un simple fusil et d'une patience quasi inhumaine, il devint le tireur d'élite le plus redoutable que le monde ait jamais connu, frappant invisible et inaudible dans le silence absolu.

En moins de 100 jours, Simo élimina 500 soldats ennemis sans jamais utiliser de lunette. Croyant que le reflet du verre pouvait le trahir, il se fia à sa mire en fer et à son instinct. Il travaillait seul, rampant à travers les forêts et mâchant la neige pour empêcher son souffle de former un nuage visible. Vêtu de blanc de la tête aux pieds, il faisait partie intégrante du paysage, invisible jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Ses ennemis le surnommaient « La Mort Blanche » et tentaient désespérément de l'arrêter avec l'artillerie, des contre-snipers et des patrouilles, mais en vain. C'était comme si le froid lui-même avait pris possession d'un fusil pour défendre la Finlande : silencieuse, impitoyable et indétectable.

Puis, une semaine seulement avant la fin de la guerre, une balle le trouva. Elle lui transperça la mâchoire et le laissa parmi les morts, présumé mort, jusqu'à ce que quelqu'un remarque le moindre tressaillement de son pied. Il fut extirpé de la neige et sombra dans le coma, se réveillant quelques jours plus tard, le visage brisé, mais la volonté intacte. Simo ne chercha jamais la gloire. Il retourna à sa ferme, où il vécut tranquillement jusqu'à la fin de sa vie. Interrogé sur ses exploits militaires, il ne parla jamais de fierté ni de victoire. Il a simplement dit : « J'ai fait ce qu'on m'a dit, du mieux que j'ai pu. » Mais le silence qu'il a laissé derrière lui résonne encore – un souvenir effrayant de l'homme qui a transformé la neige et les ombres en armes et qui a quitté la guerre sans une seule vantardise.
On n’en fera jamais assez pour effacer la nationalité russe de la Terre, peuple haïssable sous tous ses haïssables régimes depuis le début des temps !

 

L’intelligence supérieure des porcs

Des études montrent que les cochons surpassent les tout-petits (et les chiens) aux tests cognitifs
Les cochons ne sont peut-être pas les premiers animaux qui nous viennent à l'esprit lorsqu'on pense à l'intelligence, mais la science affirme qu'ils devraient l'être. Une nouvelle étude de l'Université Emory classe les cochons au cinquième rang des espèces les plus intelligentes de la planète, surpassant non seulement les chiens, mais aussi les tout-petits humains dans plusieurs critères cognitifs.
Les cochons ont démontré des capacités avancées en matière de mémoire à long terme, de navigation spatiale, de reconnaissance d'objets et de résolution de problèmes. Dans une étude remarquable, les porcelets ont rapidement compris le concept de reflets miroirs, un saut mental que les enfants mettent souvent des années à saisir.
Mais l'intelligence des cochons ne se limite pas à résoudre des énigmes. Les chercheurs ont également découvert que les cochons ressentent une large gamme d'émotions et font preuve d'empathie, ce qui met également en évidence leur profondeur émotionnelle.
Alors que la science continue de remodeler notre compréhension de l'esprit animal, les cochons sont enfin reconnus comme l'une des créatures les plus intelligentes de la planète – un titre que de nombreux comportementalistes animaliers jugent attendu depuis longtemps.

vendredi 15 août 2025

Température du jour à Arvida (15 août 2025)


 

La Reine au jeu d’échec

Peu de gens savent que la reine aux échecs n'a pas toujours été la puissance que nous connaissons aujourd'hui.
Pendant des siècles, elle ne se déplaçait que d'une case en diagonale, tandis que le roi restait la pièce maîtresse.
Dans l'Europe médiévale, le jeu reflétait la société.
Le roi était lent et prudent, reflétant son importance suprême.
La reine était faible et limitée, reflétant le rôle perçu des femmes à l'époque.
Vers la fin du XVe siècle, tout a changé.
À la Renaissance, la reine a acquis une liberté de mouvement totale sur les lignes droites et diagonales.
Cette transformation a coïncidé avec l'avènement de monarques féminines fortes comme Isabelle de Castille.
Son influence et son pouvoir politique ont inspiré la nouvelle liberté de la reine sur l'échiquier.
Ce changement n'a pas rendu le roi inutile.
Son mouvement sur une seule case mettait l'accent sur une protection prudente et une réflexion stratégique.
Le contraste entre le roi et la reine créait une tension dynamique à chaque partie.
Les joueurs devaient désormais équilibrer puissance offensive et stratégie défensive.
Les échecs sont devenus plus rapides et plus captivants.
La nouvelle mobilité de la reine a changé la donne.
Chaque coup exigeait prévoyance et précision tactique.
Elle reflétait l'évolution culturelle plus large vers la reconnaissance de l'influence féminine. 

Pehr Kalm, un scientifique en Nouvelle-France

 En novembre 1747, Pehr Kalm, un Finlandais de langue suédoise, élève et disciple du naturaliste Carl von Linné (1707-1778), entreprend un voyage en Amérique du Nord pour recenser les plantes et les richesses de ce vaste territoire. 
Il fait d’ailleurs partie de la dizaine de disciples que le naturaliste Linné envoie partout dans le monde, au XVIIIe siècle, dans le but de répertorier et nommer les plantes. 
Ce qu’il découvre dans la vallée du Saint-Laurent le marquera. Fasciné par la flore, la faune, la géologie et les coutumes des Canadiens, Kalm consigne ses observations dans un journal, dont des extraits formeront le récit de voyage qu’il publie entre 1753 et 1761.
Le récit de Pehr Kalm constitue l'un des grands témoignages de la colonie française avant la conquête britannique en 1763.

Champ avec grange et éoliennes

Photo bucolique moderne (voyez les éoliennes à droite) !

Moutons à nez noir

Ces moutons à nez noir d’origine irlandaise sont considérés comme les plus jolis moutons du monde !
Cela est loin de me scandaliser !

Un petit avion menacé

Cette photo est une métaphore de la position actuelle de l’humanité dans l’univers : l’humanité, c’est ce petit avion en bas;  l’univers cet immense incendie qui l’entoure !

mardi 12 août 2025

Température du jour à Arvida (12 août 2025)


 

Allez, robot, feu !

Représentation très simplifiée de ce qui se passe d’ores et déjà !

Moulin à vent

Il faudrait construire davantage de ces moulins à vent pour produire de l’électricitèé et exploiter ce qu’on pourrai appeler leur polyvalence.
Que de beautés face à leurs progénitures unifonctionnelles modernes !

Le vinaigrier sumac

Le vinaigrier sumac est un arbuste à l’allure exotique avec des feuilles ressemblant à celles d’un palmier que l’on retrouve partout au Québec. On le retrouve très souvent en bordure de l’autoroute ou dans des champs.

À la fin de l’été, le sumac produits des cônes de fruits rouge foncé qui sont acidulé et astringents. On le surnomme le citron amérindien car les tribus amérindiennes en faisaient une limonade (sumacade) rosée, sucrée au sirop d’érable, qui est bourrée de vitamines C et d’antioxydants.
On peut récolter les cônes de « fruits » à la fin juillet – début août, avant que les pluies en aient lavé toute la saveur. Il est préférable de cueillir ceux qui sont en dessous car ils ont été protégés de la pluie et sont encore très « surette ».
Ça prend à peu près 3-4 cônes de fruits, qu’on va écraser dans un litre d’eau, filtrer et sucrer au goût pour obtenir un délicieuse sumacade très désaltérante.
On peu aussi faire sécher les fruits et les broyer pour en faire une épice qui accompagne très bien les poissons avec son goût acidulé.

lundi 11 août 2025

Température du jour à Arvida (11 août 2035)


 

L'époque des monstres

« Le vieux monde se meurt et le nouveau monde tarde à naître. C’est l’époque des monstres. »
Antonio Gramsci
  

 Un de ces monstres, le plus monstrueux, est certes Trump, et les autres ses sbires, et les lèche-culs qui lui font des dons dorés et d'outranciers compliments !

Mitterrand et Pétain

C’est l’histoire d’une photo compromettante, restée secrète un demi-siècle. Enfin publiée en 1994, en couverture d’« Une jeunesse française » (Fayard), de Pierre Péan, retraçant les premiers engagements de François Mitterrand. 
Sur le cliché en noir et blanc, le futur président socialiste a 26 ans, les cheveux gominés, une pochette blanche pliée en triangle dans la poche de sa veste. Il écoute avec déférence le maréchal Pétain, 86 ans, qui le reçoit parmi une délégation de responsables d’un centre d’entraide aux prisonniers. 
La photo a été prise le 15 octobre 1942 à Vichy (Allier), où Mitterrand est resté plusieurs mois, fréquentant les milieux pétainistes, avant de se rapprocher de la résistance. 
Il a longtemps nié ce passé troublé, avant de le minimiser. Le cliché fait scandale. « Il est rude de découvrir que Mitterrand fut non pas seulement barrésien en littérature (…) mais aussi Croix-de-Feu en politique », condamne Lionel Jospin en 1994.

L’échec du café

Parfois, le matin, le café ne réussit pas à remettre en place les idées de ses amateurs !
Bien au contraire !

Une annulation annulée

AVANT——————————-—APRÈS
Pendant plus de 100 ans, ce garçon noir à droite est resté effacé d'un portrait de famille… et de l'histoire.

En 1837, Jacques Guillaume Lucien Amans a peint Bélizaire et les enfants Frey à La Nouvelle-Orléans. À première vue, le tableau ressemblait à un portrait de famille typique d'avant-guerre de Sécession : trois enfants blancs, bien habillés, posant en extérieur, symboles de richesse et d'héritage. Mais il y avait autrefois une quatrième figure, un garçon prénommé Bélizaire, debout à l'arrière-plan, les bras croisés, digne mais à part.
On pensait que Bélizaire était un enfant esclave appartenant à la famille Frey. Sa présence était extraordinaire pour l'époque, non pas en tant que serviteur, mais en tant qu'élément du décor. Puis, quelque temps plus tard, quelqu'un a décidé qu'il n'avait pas sa place. Son portrait a été littéralement recouvert de peinture, le faisant disparaître de la vue pendant plus d'un siècle.
Ce n'est que lorsque des restaurateurs modernes ont remarqué des textures étranges dans la peinture et ont utilisé la numérisation infrarouge que le visage de Bélizaire a réapparu. Avec précaution, ils l'ont restitué sur la toile, annulant ainsi un acte délibéré d'effacement historique.
Le tableau raconte désormais deux histoires : celle de privilège et de statut, et celle de survie, celle d'un garçon presque perdu dans le temps, dont le regard silencieux est finalement revenu croiser le nôtre.

Celui qu’un peuple méprisable voulait effacer :


samedi 9 août 2025

Température du jour à Arvida (9 août 2025)


 

La baleine et le phare de l’ancienne Nouvelle-France

Peut-être, avec son énorme queue, cette baleine nargue-t-elle le phare juché sur la « toupie »  du Haut Fond Prince en face de l’embouchure du fjord Saguenay sur le fleuve Saint-Laurent.
C’est là qu’un prince de Galles, futur Édouard VII et fils de la reine Victoria, a jadis failli se noyer lors d’une visite au Canada, un de ses futurs royaumes !
Lui qui avait demandé à l’empereur Napoléon III de l’adopter afin qu’il puisse régner sur la France plutôt que sur l’Angleterre qu’il aimait moins !
Quelle ironie, songe peut-être la baleine, s’il s’était noyé dans le grand fleuve de l’ancienne Nouvelle-France !

Mauvaise mémoire

« Une conscience tranquille est le signe certain d'une mauvaise mémoire. » 

Mark Twain

Mauvaise nouvelle maintenant

Il y a quelques années c’était une bonne nouvelle car en ces temps-là, pour les Québécois, tout le long de l’année, la température était plutôt froide, disons très froide.
Mais à cause des canicules et du réchauffement climatique, c’est maintenant une mauvaise nouvelle !
Quoi ?  l’été n’est pas fini ?

vendredi 8 août 2025

Température du jour à Arvida (8 août 2025)

Le bulletin annonce une canicule !

Si tu penses toujours à moi, je ne partirai jamais.

Souviens-toi de moi

Par Margaret Mead


Pour les vivants, je suis partie.
Pour les affligés, je ne reviendrai jamais.
Pour les colériques, j'ai été trompée.
Mais pour les heureux, je suis en paix,
Et pour les fidèles, je ne suis jamais partie.
On ne peut pas me parler, mais on peut m'entendre.
On ne peut pas me voir, mais on peut me sentir.
Alors, debout sur un rivage, contemplant une mer magnifique, souvenez-vous de moi.
Quand vous contemplez une forêt et sa majesté, souvenez-vous de moi.
Quand vous admirez une fleur et sa beauté simple, souvenez-vous de moi.
Souviens-toi de moi dans ton cœur, dans tes pensées, dans tes souvenirs :
Des moments où nous nous sommes aimés, des moments où nous avons pleuré, des moments où nous nous sommes disputés, des moments où nous avons ri.
Car si tu penses toujours à moi, je ne partirai jamais.


La science dollarisée

Comment Trump et les électeurs républicains ou fascistes conçoivent la recherche scientifique !

Miroir

Il pleut parfois à  Milan, créant de jolis miroir pour le Duomo !

La laideur volontaire

      AVANT———APRÈS

jeudi 7 août 2025

Température du jour à Arvida (7 août 2025)


 

Adolfo Kaminski, le faussaire sauveur

Imaginez rester éveillé 48 heures d'affilée, sachant que chaque heure de repos pouvait signifier la mort de 30 personnes. Telle était la réalité d'Adolfo Kaminsky, un jeune faussaire dont les documents devinrent des bouées de sauvetage pendant la Seconde Guerre mondiale.
Dans le Paris occupé par les nazis, Kaminsky, alors adolescent, utilisa ses compétences en teinture et en chimie pour diriger un laboratoire secret de contrefaçon pour la Résistance française.
Il travaillait sous le pseudonyme de Julien Keller, créant de faux certificats de naissance, passeports et cartes de rationnement presque parfaits. Ces papiers étaient le seul espoir pour des milliers de familles juives tentant d'échapper à la capture.
La demande était telle qu'il a un jour travaillé deux jours entiers sans dormir pour produire 900 documents pour 300 enfants. Il savait que s'il dormait, ils seraient tués.
Son laboratoire était un lieu de pression et de danger immenses. Une seule erreur pouvait signifier sa mort et celle des personnes qu'il tentait de sauver.
Tout au long de la guerre, son travail méticuleux et inlassable a permis de sauver plus de 14 000 vies. Il considérait son travail non pas comme un choix, mais comme un devoir.
Après la guerre, il n'a pas arrêté. Il a continué à mettre ses compétences au service des populations dans d'autres conflits à travers le monde, se battant toujours pour les plus démunis.
Adolfo Kaminsky est décédé en 2023 à l'âge de 97 ans, laissant derrière lui un héritage de résistance discrète et courageuse.

Le nom de chacun des membres d’une famille animale

Chez l’animal humain qu’on oublié dans ce tableau :

L’homme ————la femme—————l’enfant

Sortir du cadre

Pourquoi ne pas sortir du cadre ?
 

Certains esprits ne sont pas faits pour suivre les règles, mais pour les réécrire.

En 1948, dans la paisible ville de Polyany, en Russie, un garçon de dix ans nommé Joseph Brodsky reçut l'un des bulletins scolaires les plus sévères qui soient :
« Têtu. Paresseux. Impoli. Perturbateur en classe. Fait mal ses devoirs, voire pas du tout. Ses cahiers sont en désordre et pleins de gribouillis. Il pourrait être un excellent élève… mais il ne fait aucun effort. »
Il n'était pas le chouchou des enseignants. Brodsky détestait l'école soviétique. Ennuyé, agité, il passait d'une école à l'autre, redoublait une classe et, en huitième année, il quitta définitivement l'école, jurant de ne jamais y retourner. Et il ne le fit pas.
Mais si les manuels scolaires ne parvinrent pas à captiver son esprit, les rues de Leningrad, elles, oui.
« Les façades des bâtiments m'en ont appris plus sur les Égyptiens, les Grecs et les Romains que n'importe quelle salle de classe », écrira-t-il plus tard. Sans diplôme, sans éducation formelle et sans avenir clair, Brodsky a erré en petits boulots, mais il a continué à écrire. Discrètement. Intensément. La poésie est devenue sa boussole, même si le régime soviétique l'a puni pour cela, finissant par l'exiler du pays.
Des décennies plus tard, en 1987, le garçon autrefois renvoyé pour ses cahiers sales et son désintérêt pour l'école a reçu le prix Nobel de littérature.
Joseph Brodsky a prouvé que l'intelligence défie souvent les bulletins scolaires, et que certains esprits ne sont pas faits pour suivre les règles, mais pour les réécrire.

Mort ou stupide

 « Quand on est mort, on ne sait pas qu’on est mort, ce sont les autres qui ont ( éventuellement) de la peine !
C’est la même chose quand on est stupide ! »
Ricky Gervais