samedi 1 novembre 2025

Température du jour à Arvida (1er novembre 2025)


 

Un enfant du Bénin et ses yeux

Vous avez vu cet enfant du Bénin et ses yeux ?
Quelle sera sa destinée dont nous, sales Blancs que nous sommes, serons nécessairement coupables ou complices de tous les malheurs ?

Que la brume se lève !

Ils attendent que la brume du matin se lève pour s”envoler !

Peut-on voir autrui clairement, ou seulement à travers le voile de nos propres désirs ?

Iris Murdoch vivait entre deux mondes : le domaine rigoureux de la philosophie et le territoire sauvage de la fiction. Elle refusait de choisir entre les deux. Née à Dublin en 1919, elle passa sa vie à se poser la même question, exprimée dans différentes langues : comment devenir bon ?

À Oxford, elle était une philosophe de renom, enseignant Platon et l’éthique pendant plus de trente ans. Mais la philosophie ne lui suffisait pas. Il lui fallait des histoires pour saisir ce que la logique ne pouvait appréhender : le chaos complexe, irrationnel et pourtant magnifique de la condition humaine. Alors, elle écrivit des romans. Vingt-six au total. Chacun était un labyrinthe de relations inextricables, de dilemmes moraux et de personnages qui pensaient se comprendre, mais qui se trompaient.

Sa vie personnelle était tout aussi complexe. Elle épousa John Bayley, un collègue professeur à Oxford, en 1956, et ils vécurent un amour profond et singulier. Mais Iris eut aussi des liaisons passionnées avec des hommes et des femmes tout au long de leur mariage : certaines éphémères, d’autres profondes. Elle considérait l'amour comme un art, une force capable de sauver comme de détruire, et elle l'a exploré sans relâche dans son œuvre.

Dans « La Mer, la Mer », lauréat du Booker Prize en 1978, un metteur en scène vieillissant se retire sur la côte, persuadé de pouvoir reconquérir son premier amour et donner un nouveau sens à sa vie. Il découvre alors que les êtres humains sont incontrôlables, insaisissables et insondables. Un roman typique de Murdoch : philosophique, absurde et bouleversant.

Durant ses dernières années, la maladie d'Alzheimer a peu à peu effacé son esprit brillant. John a relaté son déclin avec une tendresse poignante dans un récit autobiographique qui a inspiré le film « Iris ». Mais avant de se taire, elle a laissé derrière elle une œuvre qui nous interpelle encore aujourd'hui : peut-on aimer sans se consumer ? Peut-on voir autrui clairement, ou seulement à travers le voile de nos propres désirs ?


vendredi 31 octobre 2025

Température du jour à Arvida (31 octobre 2025)


 

Il serait acquitté ou « pardonné » aux USA

Des Britanniques voudraient que leur ancien prince pédophile soit exilé aux USA pour être jugé pour ses crimes.
Ils ne réalisent pas qu’avec un violeur lui-même pédophile au pouvoir en ce pays, et avec des juges à sa botte, l’ex-prince serait sans doute acquitté ou « pardonné ».
On dirait que les gens du monde entier n’ont pas encore pris conscience que les USA ont changé et sont devenus un paradis pour criminels et mafieux !
Le pays avec un « capo di capi » à sa tête.

L’IA, quelle plaie !

Hommage au rabbin Arthur Waskow, rabbin militant et figure emblématique du judaïsme

Hommage au rabbin Arthur Waskow, rabbin militant et figure emblématique du judaïsme, qui a su unir la spiritualité juive à une politique engagée pour la justice. Il s'est éteint la semaine dernière à l'âge de 92 ans.
En 1969, pour le premier anniversaire de l'assassinat de Martin Luther King Jr., le rabbin Waskow a créé le premier Seder de la Liberté, reliant ainsi la lutte pour les droits civiques et la liberté des Noirs au récit de la libération lors de la Pâque. En 2023, Waskow a soutenu notre propre Seder de la Liberté, organisé dans cette même lignée radicale par @jvpny, qui a dénoncé le génocide israélien des Palestiniens à Gaza. Il a déclaré : « Le train pour Auschwitz ne démarre et ne s'arrête pas en un instant. Il doit prendre de la vitesse – à moins qu'on ne l'arrête avant d'y arriver. Il en va de même pour le train pour Rafah. Nous sommes ici pour l'arrêter.»
Pendant des décennies, le rabbin Waskow s'est engagé à dénoncer la violence militaire israélienne. À Rosh Hashanah 1982, après les massacres de Sabra et Chatila perpétrés avec le soutien de l'armée israélienne, il récita un article de journal décrivant ces atrocités, en remplacement de la lecture traditionnelle de la Haftarah.
Tout au long de sa vie, Waskow a fait preuve d'un profond engagement envers la pratique du judaïsme radical – il était impliqué dans le réseau Havurah, dirigé par des laïcs, et a fondé le mouvement du Renouveau juif – et envers la politique radicale. Il a été arrêté à de nombreuses reprises pour des actes de désobéissance civile, allant des manifestations contre la ségrégation à la destruction de l'environnement. 
Sa dernière arrestation remonte à 2019, lors d'une manifestation contre le ciblage des immigrants par l'ICE.
En tant que Juifs engagés pour la justice pour tous, nous sommes redevables envers le rabbin Waskow, qui nous a enseigné qu'en tant que Juifs radicaux, nous n'avons pas à compromettre nos convictions politiques ni notre judaïsme, mais qu'au contraire, nous pouvons puiser dans la richesse de la tradition juive pour renforcer et mettre en œuvre nos convictions politiques.

La révolution Beauvoir

Elle termina deuxième au plus important concours de philosophie de France – et l'homme qui la devança lui demanda de passer le reste de sa vie avec lui. 
En 1929, Simone de Beauvoir passa l'agrégation, le concours français réputé difficile pour l'enseignement de la philosophie. Elle avait 21 ans, la plus jeune personne à le tenter. Elle obtint la deuxième place au niveau national. L'homme qui arriva premier était Jean-Paul Sartre. Il avait 24 ans et avait déjà échoué une fois à l'examen. 
lLors de leur rencontre pour discuter de philosophie, Sartre lui dit qu'elle avait l'esprit d'un génie. Elle lui répondit que sa pensée était incomplète sans ses défis. 
Quelques semaines plus tard, il la demanda en mariage – non pas pour autant, mais pour quelque chose de plus radical : un partenariat fondé sur une liberté intellectuelle et personnelle absolue. Ils convinrent de ce qu'ils appelaient « l'amour essentiel », avec la possibilité d'« amours contingentes » – une relation totalement ouverte où aucun des deux ne posséderait l'autre, aucun ne limiterait l'autre, et où l'honnêteté concernant les liaisons serait de rigueur. 
Pour 1929, c'était plus qu'inhabituel. C'était scandaleux. Mais Simone de Beauvoir ne se souciait pas des conventions. 
Tandis que Sartre devenait célèbre comme figure emblématique de l'existentialisme, Beauvoir menait un travail plus profond. Elle enseignait la philosophie, écrivait des romans, voyageait et commençait à poser des questions que personne d'autre ne posait : pourquoi les femmes sont-elles toujours définies par rapport aux hommes ? Pourquoi « l'homme » est-il l'humain par défaut, tandis que « la femme » est l'Autre ? 
En 1949, elle publia Le Deuxième Sexe, une œuvre philosophique monumentale en deux volumes sur l'oppression des femmes. Il lui fallut deux ans pour l'écrire, et à sa parution, ce fut une véritable explosion. Le livre s'ouvrait sur une phrase percutante : « On ne naît pas femme, on le devient. » 
Elle soutenait que la féminité n'est pas une destinée biologique, mais une construction sociale. Tout ce que l'on dit aux femmes qu'elles sont « naturellement » — passives, maternelles, émotives, domestiques — est en réalité enseigné, imposé et mis en scène. Le genre est une construction sociale, non une qualité innée. 
L'Église catholique l'a inscrit à l'Index des livres interdits. Les critiques l'ont qualifié de « pornographique » et d'« insulte à la maternité ». Même certaines féministes l'ont rejeté, le jugeant trop radical. 
Pourtant, des millions de femmes l'ont lu et se sont dit : « Elle a raison. C'est exactement ce que je ressentais sans pouvoir le nommer. » Le Deuxième Sexe est devenu le fondement philosophique du féminisme moderne. Betty Friedan l'a cité comme source d'inspiration pour La Femme mystifiée. Gloria Steinem l'a qualifié de révélation. Le féminisme de la deuxième vague, dans les années 1960 et 1970, s'est directement appuyé sur les idées de Beauvoir. 
Mais Beauvoir ne s'est pas contentée de théoriser la liberté ; elle l'a vécue, avec ses imperfections et sa sincérité. Elle et Sartre ne se sont jamais mariés, n'ont jamais vécu ensemble, mais sont restés partenaires pendant 51 ans. Ils ont eu des liaisons – avec des hommes et des femmes – et les ont relatées dans leurs écrits. 
Il leur est même arrivé de partager des amants, ce qui a engendré des situations délicates sur le plan éthique qu'elle regrettera plus tard. 
Sa relation avec un étudiant de 17 ans dans les années 1940 fut un véritable abus de pouvoir, dont elle n'a jamais pleinement assumé les conséquences. Brillante, mais imparfaite. Révolutionnaire, mais avec ses failles. 
Pourtant, elle continua d'écrire. Elle publia Les Mandarins en 1954, un roman sur les intellectuels de l'après-guerre qui remporta le prix Goncourt, une haute distinction littéraire française. Elle écrivit des mémoires retraçant sa vie anticonformiste avec une honnêteté implacable. Elle voyagea en Chine, à Cuba, en URSS et écrivit sur la politique, le vieillissement, la mort et le sens de la liberté. 
Dans les années 1970, elle signa le « Manifeste des 343 », une déclaration publique de femmes françaises reconnaissant avoir eu recours à des avortements clandestins et revendiquant le droit à l'avortement. 
À 63 ans, elle aurait pu se reposer sur ses lauriers. Au lieu de cela, elle risqua des poursuites judiciaires pour se battre pour la génération suivante. À la mort de Sartre en 1980, Beauvoir fut anéantie. 
Elle écrivit Adieux : Adieu à Sartre, un récit d'une honnêteté brutale sur ses dernières années. Les critiques le jugèrent trop révélateur, trop dur. Elle n'en eut cure. L'honnêteté primait sur les convenances. Six ans plus tard, le 14 avril 1986, Simone de Beauvoir s'éteignait à Paris. Elle avait 78 ans. Elle fut inhumée auprès de Sartre au cimetière du Montparnasse. Des milliers de personnes assistèrent à ses obsèques : militants, écrivains, philosophes, femmes ordinaires qui, après avoir lu Le Deuxième Sexe, se sentaient moins seules. 
Son héritage ne se résume pas au Deuxième Sexe, même si cela suffirait amplement. 
C'est l'exemple qu'elle a donné : que les femmes peuvent être intellectuelles, que les relations n'ont pas à suivre des schémas préétablis, qu'on peut rejeter les diktats de la société et forger sa propre vie. Elle a prouvé qu'on n'est pas obligé de choisir entre l'amour et l'indépendance, entre l'intellect et la passion, entre être une femme et être pleinement humaine. 
Simone de Beauvoir a terminé deuxième à cet examen en 1929. Mais dans les décennies qui ont suivi, elle a excellé dans un domaine plus important encore : celui de montrer aux femmes qu'elles n'étaient pas obligées de devenir ce que le monde attendait d'elles. Elles pouvaient devenir elles-mêmes.

La Réforme de Luther

Le 31 octobre 1517, un moine allemand nommé Martin Luther aurait défié l'autorité de l'Église catholique.
Il aurait affiché un document, connu sous le nom de Quatre-vingt-quinze thèses, sur la porte de l'église du château de Wittenberg, en Allemagne.
Ce document s'opposait fermement à la pratique de l'Église consistant à vendre des indulgences, des papiers censés réduire le temps passé au purgatoire.
Luther croyait que le salut était un don de Dieu, reçu par la foi seule, et ne pouvait s'acheter. Ses thèses exposaient clairement cette conception théologique.
Cet acte est largement considéré comme l'étincelle qui a déclenché la Réforme protestante, un mouvement qui allait transformer à jamais le christianisme et le monde.
La prise de position courageuse de Luther a entraîné un bouleversement majeur du paysage religieux, politique et culturel de l'Europe, remettant en cause des siècles d'autorité établie.
Si certains historiens débattent encore de la question de savoir s'il a réellement affiché le document sur la porte ou s'il l'a simplement distribué sous forme de lettre, le 31 octobre demeure la date symbolique de cet événement crucial.
Le mouvement qu'il a initié a profondément modifié le cours de l'histoire occidentale et influencé des siècles de développement religieux et culturel.

Ville de Québec 1838

Vue pourtant étrangement moderne de Québec en 1838.
Cette vue de Québec à la Bernard Buffet (me semble-t-il) date pourtant de 1838, bien avant la naissance de Buffet.
Elle est de Henry Francis Ainslie, un aquarelliste militaire, lequel, comme à peu près tous les Britanniques après la conquête de la Nouvelle-France, était amoureux de celle-ci et ne la considérait pas, comme Voltaire et ses compatriotes français, comme « quelques arpents de neige ».
L'aquarelle (car c'est une aquarelle) présente les bâtiments de la capitale de l'Amérique du nord britannique tels qu'ils étaient à l'époque.
© Bibliothèque et Archives du Canada

mercredi 29 octobre 2025

Température du jour à Arvida (29 octobre 2025)


 

Une poupée percée d’aiguilles

Quelqu’un a pris la peine, à la Nouvelle-Orléans, de fabriquer cette poupée percée de longues aiguilles !
Je me demande bien pourquoi !

 

L’automne de certains pays

Il y a des pays où l’automne ressemble à cela !

Ne pas pouvoir soulager la souffrance

« La chose la plus difficile dans la vie, la plus dure à supporter, c'est de savoir qu'il y a une personne que l'on aime profondément et que l'on ne peut la sauver de la souffrance. On peut faire des choses pour soulager les handicaps physiques, mais on ne peut pas faire grand-chose pour apaiser la douleur du cœur. »

Agatha Christie

mardi 28 octobre 2025

Température du jour à Arvida (28 octobre 2025)


 

Calvitie

Des chercheurs de l'Université nationale de Taïwan ont créé un sérum topique à base d'acides gras mono-insaturés qui a déclenché une croissance capillaire rapide chez la souris en 20 jours, en activant les signaux des cellules adipeuses sous-cutanées. L'étude, publiée dans Cell Metabolism, a également démontré des tests préliminaires en laboratoire sur des follicules humains et est désormais en phase d'essais cliniques. Bien que prometteur, le traitement est encore expérimental et n'a pas encore fait ses preuves chez l'homme. 
Serait-ce la prochaine grande avancée dans le traitement de la chute des cheveux ?

 

Sur l’autisme

 Des scientifiques de Stanford Medicine viennent peut-être d'ouvrir une nouvelle voie dans la recherche sur l'autisme… une voie qui pourrait transformer à jamais notre compréhension et notre traitement.
Dans une étude révolutionnaire, des chercheurs ont découvert que calmer l'hyperactivité dans une minuscule zone du cerveau appelée noyau réticulaire thalamique (NRT), le « gardien » naturel des informations sensorielles, pouvait inverser les comportements autistiques chez la souris. Cette zone, longtemps négligée dans les études sur l'autisme, joue un rôle clé dans la façon dont le cerveau filtre les images, les sons et le toucher. Grâce à un médicament antiépileptique (Z944) et à une méthode appelée neuromodulation, l'équipe a réussi à réduire cette hyperactivité. Résultat ? Les souris présentaient moins de mouvements répétitifs, de meilleures interactions sociales et moins de comportements de surcharge sensorielle, qui reflètent étroitement les symptômes observés dans l'autisme.
Les résultats ont également révélé un lien étroit entre l'autisme et l'épilepsie, deux affections qui se chevauchent souvent. De nombreuses personnes autistes présentent des crises d'épilepsie, et cette étude montre qu'elles pourraient partager des circuits cérébraux similaires. Les chercheurs pensent que cibler le RTN pourrait ouvrir la voie à de futures thérapies s'attaquant directement à la cause profonde du déséquilibre sensoriel cérébral, et non pas seulement à la gestion des symptômes. Il s'agit de recherches préliminaires, dont les résultats se limitent pour l'instant à des études animales, mais le potentiel est révolutionnaire.
Pour les scientifiques comme pour les familles, cela représente un puissant message d'espoir. Cela suggère que les voies cérébrales sont plus adaptables qu'on ne le croyait et qu'avec la bonne approche, il est possible de rétablir l'équilibre. Bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires avant les essais cliniques sur l'homme, cette découverte rapproche la science de la compréhension du lien profond entre l'activité neuronale, la perception et le comportement. Progressivement, des avancées comme celle-ci transforment ce qui semblait autrefois impossible en quelque chose d'espoir et de réel.

Une lignée humaine dont l’ADN n’a pas survécu

Une lignée perdue découverte en Colombie
Des scientifiques ont découvert des traces génétiques d'un mystérieux groupe humain qui vivait autrefois dans les hautes plaines près de Bogotá, mais dont on ne sait rien aujourd'hui de la descendance.
Dans une étude révolutionnaire publiée dans Science Advances (2025), des chercheurs ont analysé l'ADN de 21 individus ayant vécu il y a environ 6 000 ans. À leur grande surprise, ces anciens Colombiens ne partageaient aucun lien génétique direct avec une quelconque population autochtone ou sud-américaine ancienne connue.
Malgré leur prospérité dans la région pendant des millénaires, passant de la chasse à l'agriculture, leur ADN disparaît tout simplement du registre génétique. Seuls de faibles traces de leur ascendance apparaissent chez des groupes modernes parlant le chibchan d'Amérique centrale, comme ceux du Panama et du Honduras, suggérant des migrations ou des échanges culturels depuis longtemps oubliés à travers le corridor isthmo-colombien.
Cette découverte remet en question nos connaissances sur le peuplement primitif des Amériques. S'agissait-il d'une population isolée qui a disparu, ou leurs gènes ont-ils été absorbés par des groupes ultérieurs ? Les chercheurs espèrent que de nouvelles études ADN menées en Équateur, au Venezuela et dans l'ouest de la Colombie contribueront à éclaircir ce chapitre perdu de l'histoire humaine.

lundi 27 octobre 2025

Température du jour à Arvida (27 octobre 2025)


 

Une épée de Damoclès sur les sbires pédophiles trumpistes et princiers

La prête-plume des mémoires de Virginia Giuffre (« Nobody’s Girl » sur les crimes pédophiles d’Epstein et des sbires trumpistes et princiers de ses amis) vient de lâcher une bombe : elle a en sa possession tous les noms contenus dans les dossiers Epstein et des enregistrements privés sur lesquels elle peut s’appuyer.

Une tour de livres à Berlin contre les autodafès nazis

 

Une tour de livres dressée à Berlin !

Ce monument commémore les fameuses cérémonies de brûlage de livres nazies organisées dans toute l'Allemagne le 10 mai 1933 au soir.

Conjointe bilippue d’un milliardaire des médias sociaux

Après un voyage de noces à Venise, la nouvelle femme bilippue d’un milliardaire des médias sociaux ! 

Rosa Parks

La libératrice de l'esclavage et de la discrimination dont sont coupables tous les Blancs d'origine européenne, et plus que tous des gens comme le dictateur criminel Napoléon Bonaparte qui a annulé la fin de l'esclavage décrétée par la Révolution, crimes qui, à tous, ne leur sera jamais pardonné !

Vision d’une cellule humaine vivante

Pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, des scientifiques ont produit l'image la plus détaillée jamais prise d'une cellule humaine vivante : une visualisation 3D qui révèle les mécanismes internes de la vie avec une précision époustouflante. Grâce à une combinaison de microscopie à rayons X, à fluorescence et cryoélectronique, les chercheurs ont reconstitué un paysage cellulaire complet à l'échelle nanométrique, révélant des détails jamais observés auparavant.
Au cœur de ce monde microscopique, nous pouvons désormais observer comment les mitochondries produisent de l'énergie, comment les ribosomes assemblent les protéines et comment les voies internes de la cellule transportent les molécules vitales, le tout avec une résolution époustouflante. Il ne s'agissait pas d'une simple photographie, mais d'une reconstruction numérique basée sur des données, créée par la superposition de milliers de scans ultra-fins de cellules congelées instantanément. Le résultat est une carte 3D que les scientifiques appellent « univers cellulaire ».
Au-delà de sa beauté visuelle, cette découverte marque un tournant pour la médecine et la biologie moléculaire. Ce niveau d'imagerie pourrait permettre aux chercheurs de suivre l'évolution des cellules à l'échelle la plus fine par des maladies comme le cancer, la maladie d'Alzheimer et les infections virales, et même de concevoir des médicaments ciblant des structures cellulaires spécifiques avec une précision chirurgicale.
Il ne s'agit pas seulement d'une avancée majeure pour la science ; c'est un nouveau regard sur la vie elle-même, révélant à l'humanité ce qu'elle est réellement de l'intérieur.

Vulgarités

L’auteur de cette vulgarité ?
Vous le connaissez et un peuple de l’Amérique du nord le connaît plus que d’autres !
Quel peuple vulgaire, lui aussi, prêt à approuver de telles vulgarités !

Espoir ?

Peut-être un peu d’espoir là-bas, vers la lumière !

dimanche 26 octobre 2025

Température du jour à Arvida (26 octobre 2025)


 

De rares cirrus

Ces nuages sont des cirrus extrêmement rares.
Ce que vous voyez, ce sont des cirrus : de fines formations filamenteuses qui dérivent haut au-dessus de la Terre, généralement entre 6 000 et 12 000 mètres (6 à 12 km), là où l'air est glacial et constitué de minuscules cristaux de glace plutôt que de gouttelettes d'eau. Leur aspect gracieux et strié leur a valu le surnom de « queues de cheval ».
Pourquoi paraissent-ils si délicats et si aériens ? Les vents puissants de haute altitude étirent et dispersent les cristaux de glace en longues traînées aériennes, peignant le ciel de larges traits. Ces vents sculptent les nuages ​​en formes qui peuvent ressembler à des ailes, des plumes ou des flammes, chacune fugace et unique.
Les cirrus offrent leur spectacle le plus spectaculaire au lever ou au coucher du soleil. À mesure que le soleil descend à l'horizon, sa lumière traverse une plus grande partie de l'atmosphère. Les longueurs d'onde bleues et vertes, plus courtes, se dispersent, laissant derrière elles des tons rouges, orange et roses plus longs qui embrasent les nuages ​​d'un éclat flamboyant.
Leur composition glacée les rend encore plus saisissantes : ces cristaux d'altitude réfractent et reflètent la lumière du soleil, créant ce contour chatoyant et lumineux presque éthéré. Pendant ce temps, tandis que le ciel s'assombrit, les cirrus d'altitude restent illuminés, brillant dans la pénombre qui s'épaissit.

La connaissance et la liberté de l’incertitude


 

Les gens se soulagent sur cette étoile manifestement mal attribuée

Il paraît que cette étoile, à Hollywood, pue comme Trump lui-méme !
Les gens n’hésitent donc pas à s’y soulager !

Alzheimer


 

L’invention du « zipper »

Après la mort subite de sa femme en 1911, l'ingénieur suédo-américain Gideon Sundback a enterré son chagrin dans son travail, inventant finalement la fermeture éclair que nous utilisons tous aujourd'hui.
Travaillant pour la Universal Fastener Company en Pennsylvanie, il fut chargé d'améliorer un dispositif peu fiable et peu pratique, le « Clasp Locker », inventé par Whitcomb Judson.
Le concept de Judson fut un échec commercial. Il avait tendance à s'ouvrir brusquement aux pires moments.
Sundback consacra toute son énergie à résoudre le problème. Le 29 avril 1913, il déposa un brevet pour sa « fermeture sans crochet », dotée de petites dents imbriquées pouvant être assemblées par un seul curseur.
Son véritable génie ne résidait pas seulement dans la fermeture elle-même, mais aussi dans la machine qu'il inventa pour la produire en série. En 1914, sa machine produisait des centaines de mètres de fermetures éclair chaque jour.
En 1917, il perfectionna le concept avec son « attache séparable », véritable modèle de la fermeture éclair moderne. L'armée américaine comprit son utilité et fut l'une des premières à l'adopter, en commandant des milliers d'exemplaires pour ses uniformes et son équipement pendant la Première Guerre mondiale.
Ce n'est qu'en 1923 que l'entreprise B.F. Goodrich inventa le nom de « zipper » pour une nouvelle gamme de bottes en caoutchouc utilisant le dispositif de Sundback. 
Le nom resta.
Traduit en français par « fermeture éclair »

D'une perte personnelle naquit une invention simple et durable qui transforma discrètement la vie quotidienne dans le monde entier.

samedi 25 octobre 2025

Température du jour à Arvida (25 octobre 2025)


 

En Espagne, les animaux sont désormais reconnus comme des membres de la famille, et non comme des biens.

Vous connaissez ce sentiment lorsque votre chien se blottit contre vous et qu'il se sent comme à la maison ? L'Espagne a enfin inscrit ce sentiment dans la loi.
Ici, les animaux sont désormais reconnus comme des membres de la famille, et non comme des biens. La loi stipule que les animaux sont des êtres sensibles. Cela paraît simple, mais cela change beaucoup de choses.
En cas de séparation ou de divorce, les juges doivent se soucier du bien-être de l'animal. Qui peut le mieux s'en occuper ? Où il sera le plus heureux ? Et non pas qui détient le reçu.
Les animaux ne peuvent être saisis pour payer une dette. Ils ne peuvent être hypothéqués. Leur bien-être est important dans les décisions juridiques qui concernent votre foyer.
Ce changement est une question d'empathie au quotidien. Cela signifie que le chat qui vous accueille à la porte a un statut juridique qui respecte ses sentiments. Le vieux chien qui a besoin de sa routine est considéré comme plus qu'un objet.
Pour les familles, cela apporte clarté et réconfort. Pour les refuges et les vétérinaires, cela soutient le travail qu'ils accomplissent au quotidien. Pour les enfants, cela envoie un message de bienveillance.
L'Espagne rejoint un nombre croissant de pays qui considèrent les animaux comme des compagnons vivants et sensibles. C'est une victoire pour les queues qui remuent, les ronronnements sur le canapé et le lien paisible qui rend une maison pleine de vie.

Les reines aussi régnaient chez les Mayas


Au cœur de la jungle guatémaltèque, des archéologues ont découvert des hiéroglyphes qui murmurent un nom oublié : la reine Ix K’an-Witz’ Tz’ihb, une souveraine maya disparue depuis 1 400 ans. Son histoire, gravée dans la pierre ancienne, révèle une vérité longtemps ignorée : les femmes aussi régnaient.

L’inscription, datée d’environ 650 apr. J.-C., représente une souveraine enveloppée de jade et couronnée de plumes de quetzal, symboles de l’autorité divine. Elle n’apparaît pas comme une épouse ou un ornement, mais comme une dirigeante commandant des armées, accomplissant des rituels et façonnant des dynasties.

Pendant des siècles, la jungle a gardé son secret sous les lianes et la mousse, tandis que les livres d’histoire ne parlaient que de rois. Mais les glyphes, désormais déchiffrés, changent la donne. Ils lui rendent sa voix. Son nom. Son pouvoir.

La découverte de la reine Ix K’an-Witz’ Tz’ihb redéfinit notre connaissance de la civilisation maya, prouvant que la grandeur n’était pas liée au sexe, mais au courage et à l’héritage.

À travers les pierres, son histoire renaît : celle d’une reine renaissante du silence.

Besame Mucho

Elle a écrit la chanson d'amour la plus célèbre de l'histoire… avant même d'avoir eu son premier baiser.
Et pendant des années, le monde a cru que le compositeur était un homme.
Consuelo Velázquez Torres est née le 21 août 1916 à Ciudad Guzmán, dans l'État de Jalisco. Enfant prodige, elle jouait du piano à l'oreille à 4 ans et donnait son premier récital à 6 ans. Formée au piano classique de concert aux Beaux-Arts, elle aurait pu suivre une voie prestigieuse dans le monde universitaire et les conservatoires.
Mais c'est l'amour, et non la célébrité, qui l'a rendue immortelle.
En 1940, à seulement 24 ans, elle composa un boléro intitulé « Bésame mucho ». Elle l'écrivit après avoir assisté à une scène d'opéra passionnée, alors qu'à l'époque, elle n'avait jamais embrassé personne de sa vie.
Elle signa la chanson de son nom complet, mais dans de nombreux pays, Consuelo fut pris à tort pour un nom d'homme. Le monde entier pensait que cet hymne romantique intemporel était l'œuvre d'un compositeur espagnol.
Ils se trompaient lourdement.
« Bésame mucho » est devenu un phénomène mondial, interprété par des légendes comme les Beatles, Frank Sinatra, Luis Miguel, Andrea Bocelli, Cesária Évora et Nat King Cole. C'est aujourd'hui la chanson mexicaine la plus traduite et reprise de l'histoire.
Mais l'héritage de Consuelo ne s'est pas arrêté là.
Elle a composé des dizaines de chansons, a été députée et est devenue une ardente défenseure des droits des artistes, tout en naviguant avec une force tranquille dans un secteur dominé par les hommes. Malgré sa célébrité, elle a choisi une vie humble, loin des projecteurs, consacrée à sa famille et à son piano.
Consuelo Velázquez est décédée le 22 janvier 2005, à l'âge de 88 ans. Interrogée sur son secret, elle a simplement répondu ceci :
« Je n'ai jamais été bohème. J'étais romantique. Et je jouais avec l'âme. »

« Les feuilles mortes » de Jacques Prévert


 

vendredi 24 octobre 2025

Température du jour à Arvida (24 octobre 2025)


 

Le langage des corbeaux

Les corbeaux possèdent plus de 250 croassements différents. Ils utilisent des tonalités différentes pour signaler un danger, de la nourriture et même échanger des ragots.

Une pile nucléaire dont la production d’énergie dure 50 ans

La Chine a dévoilé une merveille technologique : une pile nucléaire de la taille d'une pièce de monnaie capable de produire de l'énergie en continu jusqu'à 50 ans sans avoir besoin d'être rechargée.

Cette micro-source d'énergie utilise des isotopes radioactifs et des semi-conducteurs avancés pour convertir en toute sécurité le rayonnement en électricité, produisant ainsi une énergie propre et stable à l'échelle microscopique. Conçue pour les petits appareils, les satellites et les implants médicaux, elle pourrait un jour alimenter indéfiniment des gadgets, des capteurs, voire des véhicules électriques.

Contrairement aux piles traditionnelles, elle ne contient aucune pièce mobile, aucune émission et aucune dégradation chimique. Les scientifiques soulignent sa sécurité : elle est entièrement protégée contre les rayonnements, ce qui la rend inoffensive pour les consommateurs.

Si elle est commercialisée, cette innovation pourrait éliminer le besoin de câbles de charge, de prises et de remplacement de piles, révolutionnant ainsi notre perception de l'énergie elle-même.

Un avenir où les appareils fonctionneront pendant des décennies sur une seule charge ne relève peut-être plus de la science-fiction : c'est la prochaine étape de l'innovation énergétique chinoise.


jeudi 23 octobre 2025

Température du jour à Arvida (23 octobre 2025)


 

Fleurs bleues

Ces petites fleurs bleues sont ce qu’on appelle des «  bleuets » en France et sans doute dans les pays francophones d’Europe et du reste du monde.
Au grand étonnement des Québécois et des autres Francophones d’Amérique du nord.
À mon avis, chacun tiendra mordicus à son appellation.
Ainsi vont les parlers !
Ce qu’on appelle « bleuets » au Québec et dans la Francophonie d’Amérique du nord, ce sont les petits fruits bleus que vous voyez dans cette photo :

Des bourreaux et des blessés

Une grande partie des humains sont des bourreaux mais beaucoup, même parmi ceux qui ne sont pas des artistes, sont aussi des gens blessés.