mardi 24 juin 2025

Philosophie tirée de deux pinces à linge

Mon père m'a tendu deux pinces à linge. « Voici, dit-il, l'histoire de tout. »
Dans une main : une pince à linge des années 1960. En bois dur, massif et dense – probablement de l'érable ou du hêtre – chaud au toucher, poli par le temps et l'usage. Elle fonctionne toujours parfaitement, une soixantaine d'années plus tard.
Dans l'autre : une pince à linge de 2025. Un bois plus clair, plus pâle, peut-être du pin ou du peuplier. Elle est cassante. Le ressort est plus fin, moins stable. Elle était commercialisée en ligne comme « ultra-résistante ». Mon père a haussé un sourcil.
À première vue, ce ne sont que deux pinces à linge. Mais en réalité, c'est l'instantané de toute une philosophie économique : le passage de la durabilité au jetable. De la gestion responsable à la consommation. De l'artisanat à la réduction des coûts.
C'est l'obsolescence programmée en action.
On ne pense pas souvent à la façon dont les produits sont intentionnellement conçus pour échouer. Qu'une entreprise choisisse des matériaux non pas pour leur longévité, mais pour leur péremption. Pourquoi ? Parce qu'un produit qui dure est un produit qui n'a pas besoin d'être racheté. Et s'il n'a pas besoin d'être racheté, il ne génère pas de profit continu.
Ainsi, pour que le commerce continue de tourner, les produits doivent casser. Lentement, subtilement – ​​un fil effiloché ici, une charnière fissurée là. Juste assez pour nous renvoyer en magasin. Encore et encore. Non pas parce que nous en voulons plus, mais parce que ce que nous avions n'était pas fait pour durer.
Cela peut sembler une stratégie commerciale astucieuse, mais les coûts sont omniprésents.
Nous le constatons dans nos décharges, débordant des restes des achats de la veille. Nous le ressentons dans nos portefeuilles, dépensant davantage au fil du temps pour remplacer ce qui ne devrait pas l'être. Et peut-être de manière plus invisible, nous le ressentons dans notre esprit – nous nous habituons à l'idée que rien n'est fait pour durer, pas même les choses que nous avons chéries.
Et si cette philosophie ne s'appliquait pas seulement aux objets ? Et si elle nous conditionnait à considérer les relations, les foyers, les communautés – et même la Terre – comme des choses temporaires, jetables et facilement remplaçables ?
Et si le tissu même de notre culture avait été refait à l'image de la pince à linge cassée ?
Car ne vous y trompez pas : ce modèle est intenable. Une planète ne peut supporter le gaspillage infini d'une espèce qui s'obstine à tout construire pour un échec planifié. Les ressources sont limitées. Les décharges sont limitées. Le temps est limité.
Et pourtant, la bonne nouvelle, c'est que cette pince à linge des années 1960 nous rappelle qu'une autre voie est possible. Que nous avons autrefois fabriqué les choses pour durer – et que nous pouvons à nouveau le faire. Que la qualité, l'intention et le respect des matériaux sont importants. Que nous pouvons concevoir pour réparer plutôt que pour remplacer. Pour la continuité plutôt que pour l'effondrement.
L'histoire que je tiens dans ma main ne se résume pas à du linge. Elle parle des choix que nous faisons – et du monde qu'ils créent.

Fête électrisante

La Tour de l’Assemblée nationale électrisée lors des festivités de la fête nationale à Québec.
 

C'est une toile de Michael Leonard datant de 1969 et intitulée « Thésée et le Minotaure ».
Alors qu'habituellement les œuvres représentant ces deux protagonistes les montrent se combattant, cette toile les montre comme des copains, si je puis dire.
Disons des boxeurs avant un combat loyal.
Peut-être se ressemblaient-ils, en effet, ces deux protagonistes, et peut-être auraient-ils pu s'entendre !
Et profiter de la situation ...
Dans la légende, le Minotaure était ce qu'on pourrait appeler le méchant et Thésée le bon, mais Thésée, les autres légendes le concernant en font foi, n'était pas un « bon », même si les Athéniens le considéraient comme un héros : il a, en effet, abandonné Ariane, celle qui, avec le fil qui porte son nom, l'avait aidé à se retrouver dans le labyrinthe où était enfermé le Minotaure ; il a causé la mort de son père, Égée, par sa négligence ; et il a voué, par jalousie, son fils Hippolyte à la mort.
Bref, rien de sympathique, chez lui.
Si on ajoute que le couple qu'il forme avec le Minotaure est sans doute à l'origine mythique de la corrida, dont notre guide Francesca, à Ronda, comparaît la pratique à celle qui a cours dans les abattoirs, on pourrait dire qu'il est absolument antipathique.
Contrairement à l'image que la toile de Leonard donne de lui et de son copain.

lundi 23 juin 2025

Température du jour à Arvida (23 juin 2025)


 

Fantôme

Une sculpture représentant un fantôme sur une terrasse du château de Vezio surplombant le lac de Côme dans le nord de l’Italie.
Comme tous les autres êtres chimériques ( dieu ou dieux, saints, diables, élus, damnés, etc.), les fantômes n’existent que comme sculptures, personnages de romans ou de récits ou de tableaux ou de films ou de bandes dessinées.

Alan Turing, le génie martyr

Alan Turing est né il y a 113 ans aujourd'hui.
Parmi ses réalisations :

• Il a déchiffré le code allemand Enigma pendant la Seconde Guerre mondiale, contribuant ainsi à renverser le cours de la guerre.

• Il a proposé le « test de Turing » pour évaluer l'intelligence artificielle, jetant ainsi les bases de l'IA.

• Il a conçu un algorithme d'échecs à la main en 1950, bien avant que les ordinateurs ne sachent jouer.

• Il a couru un marathon en 2 h 46 et s'est classé 5e aux sélections olympiques de 1948.

• En 1952, il a publié un article visionnaire sur la morphogenèse, montrant comment de simples réactions chimiques – aujourd'hui appelées systèmes de réaction-diffusion – peuvent générer des motifs complexes chez les organismes biologiques, comme les rayures des zèbres ou les taches des léopards. Cet article était en avance sur son temps et conserve aujourd'hui une influence indéniable en biologie du développement et en biologie mathématique.


Hélas, en 1954, il a été poussé au suicide par l’ignominie d’élus et de lords moins que rien, membres de l’une ou l’autre des deux chambres du parlement du Royaume-Uni, ennemies de la liberté individuelle et de l’intelligence et ennemies du genre humain !

 

dimanche 22 juin 2025

Température du jour à Arvida (22 juin 2025)


 

La Maison carrée

Construit vers 10 av. J.-C., ce temple, appelé « La Maison carrée » est l'un des monuments romains les mieux préservés au monde. Dressé sur son podium d'origine, orné de colonnes corinthiennes et de frises détaillées, il honorait autrefois les héritiers de l'empereur Auguste au cœur de l'antique Nîmes. Au fil des siècles, il a servi d'église, d'hôtel de ville, d'écuries et est aujourd'hui un musée où vous pourrez explorer 2 000 ans d'histoire.

P L U I E S

Il pleut tant à Arvida, ces jours-ci, voyez à quoi les animaux sont réduits !

L’histoire des États-Unis statufiée

L’unes des statues qui m’avaient le plus scandalisé à New York, lors d’un séjour qui date pourtant de plus de 10 ans : la représentation même de l’inégalité qui règne aux USA : le Blanc, Theodore Roosevelt, à cheval, accompagné, comme lors d’un triomphe romain, d’un Noir et d’un Autochtone, à pied et humiliés.

L’histoire des États-Unis statufiée (le sang et la souffrance en moins) !

En Hollande

Dans la légende on écrit que cette photo a été prise au Pays-bas mais,  pour moi, ce qu’on voit dans la photo existait avant que les Pays-bas existent.
C’est indéniablement en Hollande qu’existe ce qu’on voit dans la photo !

samedi 21 juin 2025

Température du jour à Arvida (21 juin 2025)


 

Jolis feux d’artifice

Vous savez quel air maladif est responsable de tous ces malheurs qui n’en sont pas vraiment, oui ?

Échapper à la pollution Trump

Que dites-vous de ces statistiques ?
Peut-être signifient-elles que notre planète échappera bientôt à la merdeuse (et emmerdeuse) pollution Trump !
Et que nous tous pourront vivre libres quelques brèves années.

jeudi 19 juin 2025

Température du jour à Arvida (19 juin 2025)


Ava Gardner

Margarita Carmen Cansino (1918 – 1987), plus connue sous le nom d'Ava Gardner, était une actrice, danseuse et productrice américaine emblématique qui s'est fait connaître dans les années 1940. Surnommée « La Déesse de l'Amour » par la presse, elle est devenue l'une des plus grandes stars d'Hollywood et un sex-symbol mondial, incarnant le glamour de l'Âge d'Or avec sa magnifique chevelure rousse, son regard captivant et son talent de danseuse exceptionnel. Sa carrière s'est étendue sur 37 ans, au cours desquels elle a joué dans 61 films, consolidant sa place parmi les plus grandes stars de tous les temps selon l'American Film Institute.
Née à Grabtown, en Caroline du Nord, Ava Gardner est issue d'une famille de danseurs et a commencé sa carrière professionnelle avec son père dès l'âge de 12 ans. À 16 ans, elle a été découverte par un découvreur de talents de la MGM après que son beau-frère, un photographe new-yorkais, a exposé ses portraits dans la vitrine de son studio. Après un essai, elle signe un contrat avec la MGM et subit une transformation majeure : ses cheveux sont teints en auburn, sa ligne frontale est remodelée et son nom de famille est changé en « Hayworth » (plus tard « Gardner » pour éviter toute confusion avec Rita Hayworth), le tout afin de cultiver le glamour sophistiqué qui définira son image. Sa percée survient avec le classique du film noir The Killers (1946), où elle incarne la séduisante femme fatale Kitty Collins. Elle captive encore davantage le public en dansant aux côtés de Fred Astaire dans You'll Never Get Rich (1941) et You Were Never Lovelier (1942), et ses talents dramatiques brillent dans des films comme Show Boat (1951) et Les Neiges du Kilimandjaro (1952). Cependant, c'est son rôle du personnage principal dans le classique du film noir Gilda (1946) qui consolide son statut de sex-symbol légendaire, notamment avec sa séquence emblématique « Put the Blame on Mame ». Elle a reçu sa seule nomination à l'Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation dans Mogambo (1953). Parmi ses autres films marquants, citons La Comtesse aux pieds nus (1954), Le Soleil se lève aussi (1957) et La Nuit de l'iguane (1964).
Malgré son immense succès professionnel, la vie personnelle de Gardner fut souvent tumultueuse, marquée par des relations et des difficultés largement médiatisées. Elle s'est mariée cinq fois, notamment avec l'acteur Mickey Rooney, le chef d'orchestre Artie Shaw, et son union la plus célèbre et passionnée avec le chanteur Frank Sinatra. Elle a déclaré : « Les hommes couchent avec Gilda, mais se réveillent avec moi », reflétant le décalage entre son personnage glamour à l'écran et sa vie privée. Plus tard dans sa vie, elle a lutté contre des problèmes de santé, notamment la maladie d'Alzheimer, initialement diagnostiquée à tort comme de l'alcoolisme. Elle est décédée à Londres le 25 janvier 1990, à l'âge de 67 ans. Ava Gardner reste une figure vénérée de l'histoire d'Hollywood, connue pour sa beauté captivante, son talent brut et son attrait durable qui ont fait d'elle l'une des véritables légendes du grand écran.


 

L’homosexualité dans « La Comédie humaine » de Balzac

La relation entre Jacques Collin et Eugène de Rastignac dans la vaste Comédie Humaine de Balzac représente un tournant dans la littérature occidentale : c'est la première fois qu'un auteur majeur ose explorer la dynamique complexe du désir homosexuel et du mentorat avec une profondeur psychologique et une ambiguïté morale. 
Écrivant dans les années 1830 et 1840, des décennies avant même l'apparition de termes comme « homosexuel », Balzac a créé en Jacques Collin un personnage dont l'homosexualité est à la fois explicite et fondatrice de son identité de premier grand antihéros gay de la littérature.
Collin évolue sous de multiples identités tout au long du cycle : le forçat évadé Vautrin, le mystérieux abbé Carlos Herrera, l'homme d'affaires Jacques Collin, mais son essence demeure : un brillant génie du crime dont les motivations les plus profondes naissent de son dévouement passionné pour les beaux jeunes hommes. Sa relation avec Rastignac, l'ambitieux provincial qui devient son protégé, est imprégnée d'une tension érotique à peine dissimulée sous la surface du mentorat. Collin voit en Rastignac non seulement un jeune homme prometteur à guider dans la société parisienne, mais aussi un objet de désir dont le succès devient son propre triomphe indirect.
Ce qui rend Collin extraordinaire, c'est le refus de Balzac de le présenter comme une victime ou un méchant en termes simples. C'est un criminel indéniable : un maître du déguisement qui orchestre des plans élaborés, manipule le système judiciaire et détruit des vies avec une efficacité désinvolte. Pourtant, il agit selon un code de loyauté farouche envers ceux qu'il aime, en particulier des jeunes hommes comme Rastignac et plus tard Lucien de Rubempré. Sa criminalité devient une forme de résistance queer à une société qui n'offre aucun espace légitime à ses désirs ni à ses relations. Dans un monde où son amour est littéralement criminel, il embrasse la criminalité réelle à la fois comme camouflage et comme vengeance.
La dynamique entre Collin et Rastignac préfigure d'innombrables relations littéraires homosexuelles à venir : le mentor plus âgé et mondain et la belle jeune initiée, l'échange de savoir contre l'intimité, le mélange de corruption et d'éducation. L'éducation morale de Rastignac se fait sous la tutelle de Collin, mais c'est une éducation qui transforme les deux hommes. Collin met ses propres ambitions contrariées au service de la carrière de Rastignac, tandis que ce dernier apprend à naviguer dans une société que Collin maîtrise déjà par la tromperie et la manipulation. Leur relation devient une méditation sur le pouvoir, le désir et les coûts de l'assimilation à une société hétéronormative.

Le génie de Balzac réside dans sa reconnaissance que l'homosexualité dans la France du XIXe siècle ne pouvait exister sans criminalité – non pas parce que les hommes homosexuels étaient intrinsèquement criminels, mais parce que la société avait criminalisé leur existence même. Les stratagèmes élaborés et les fausses identités de Collin deviennent des métaphores de la performance exigée de tous les hommes homosexuels dans des sociétés hostiles. Sa relation avec Rastignac, et plus tard son obsession plus explicitement romantique pour Lucien de Rubempré, révèlent comment l'amour queer opère dans des espaces de secret et de danger, où dévouement et destruction s'entremêlent souvent.

L'ovule n'est pas passif. C'est lui qui mène la danse.

Vous connaissez le mythe : les spermatozoïdes sont des guerriers qui courent vers l’ovule ; seul le plus rapide et le plus fort gagne. N’est-ce pas ?
Eh bien… pas exactement. Ce n’est qu’une version de l’histoire.
Voici la vraie science, et c’est un retournement de situation :
Elle choisit.
Des recherches récentes révèlent que l’ovule ne se contente pas d’attendre. Il est actif. Puissant. Intelligent. Et exigeant.
Lorsqu’un spermatozoïde s’approche, il libère un fluide spécial : un message chimique. Il peut attirer certains spermatozoïdes… et en ignorer d’autres. Cela signifie que tous les nageurs ne sont pas les bienvenus. C’est comme la liste VIP de la nature.
Et tenez-vous bien : des ovules différents préfèrent des spermatozoïdes différents. C’est une question de compatibilité, pas seulement de rapidité.
Une fois qu’un spermatozoïde pénètre à l’intérieur, l’ovule verrouille immédiatement la porte, déclenchant une réaction chimique qui empêche toute autre personne d’entrer. Double réservation interdite.
Pendant ce temps, votre spermatozoïde (la plus petite cellule du corps humain) se présente à la porte de l'ovule (la plus grande cellule), espérant être l'élu.
Alors, la prochaine fois que quelqu'un vous dit que ce n'est qu'une course…
Rappelez-lui : la biologie n'est pas une compétition, c'est de la chimie.
La science continue de découvrir comment la vie commence, mais une chose est sûre : l'ovule n'est pas passif. C'est lui qui mène la danse.

Quelqu’un qui rêve de ta vie

Pas seulement quelqu’un mais des milliards de personnes !

mercredi 18 juin 2025

Température du jour à Arvida (18 juin 2025)


 

Connard et corrida

Entre connard et corrida il n’y a que quelques lettres de différence mais la signification est la même !

La Suisse lâche les F-35 US

Contexte de la décision suisse

Longtemps considérée comme une alliée fidèle de la technologie militaire américaine, la Suisse a surpris la communauté internationale en annulant son contrat pour l’acquisition de 36 avions de combat F-35, préférant se tourner vers d’autres alternatives européennes.

Les raisons officielles

Les autorités suisses ont cité plusieurs facteurs influençant cette décision. Parmi eux, les préoccupations liées à la dépendance technologique envers les États-Unis et les coûts croissants de maintenance et d’exploitation des appareils. De plus, des questions environnementales et de souveraineté ont également été soulevées

À mon avis, le Canada devrait faire de même !

Pour la même raison non-officielle mais réelle :   Trump !

mardi 17 juin 2025

Température du jour à Arvida (17 juin 2025)


 

Rue d’Éphèse

Vers la bibliothèque de Celsus, j’ai marché, avec ma femme, dans cette rue, sans doute romaine, de la ville d’Éphèse, jadis située en Asie mineure, et aujourd’hui en Turquie, nouveau nom de l’Asie mineure.
Éphèse, où se trouvait le temple d’Artémis, incendié par un trumpiste du temps que je ne nommerai pas, et dont on retrouve certains des plus beaux marbres sur les parois de l’église Sainte-Sophie à Constantinople, maintenant appelée Istanbul.

Heurtant heurtoir

Pour éviter qu’un témoin de Jéhovah ou un quelconque colporteur de religion (ou d’articles inutiles de ce genre) vienne frapper à votre porte, essayez d’installer un heurtoir de ce genre !

lundi 16 juin 2025

Température du jour à Arvida (16 juin 2025)


 

Une persistante spirée

La spirée de Van Houtte qui fleurissait déjà près de notre maison lorsque nous avons acquis celle-ci il y a presque un demi-siècle, et qui n’a cessé de fleurir depuis ce temps, de plus en plus tôt au printemps à cause sans doute des changements climatiques.

Tous unis contre les monstres

Devant l’attaque d’un monstre, il est contre-indiqué de paniquer.
Il vaut mieux s’allier les uns avec les autres et le monstre ne durera pas longtemps !
Je parle politique et religion au cas où vous ne l’auriez pas saisi !

Une émission de télé hier soir (15 juin 2025) sur les relations entre Churchill, Roosevelt et Staline à la fin de la 2è guerre mondiale :  on voit que Staline a très facilement roulé Roosevelt dans la farine.
Trump n’est pas le premier ni le seul président des USA à être roulé dans la farine par un dictateur russe.
Je commence à douter de l’intelligence de la plupart des politiciens  élus des États-Unis, ainsi que de celle de la grande majorité de leurs électeurs : c’est sans doute par hasard et sans en être conscients qu’ils élisent parfois quelqu’un de bien.
On ne peut vraiment pas compter sur ces gens, bien au contraire, la méfiance est de rigueur.
Voire une préparation profonde contre le danger mortel que ces gens représentent puisqu’ils veulent nous abaisser à leur déplorable niveau de civilisation et de bien-étre !

dimanche 15 juin 2025

Température du jour à Arvida (15 juin 2025)


 

Buvez de l'eau là où boit votre cheval

Buvez de l'eau là où boit votre cheval, un cheval ne boira jamais d'eau mauvaise. Faites votre lit là où le chat dort paisiblement. Mangez des fruits touchés par un ver. Il ramasse sans crainte les champignons sur lesquels les insectes se perchent. Plantez un arbre creusé par la taupe. Creusez un trou où les oiseaux se cachent de la chaleur. Dormez et réveillez-vous en même temps que les oiseaux, vous récolterez les grains d'or de la vie. Mangez plus de légumes verts, vous aurez des jambes plus fortes et un cœur résilient comme l'esprit des forêts.

Une célèbre bouche de merde

Une célèbre bouche de merde !

La poule noire d’Indonésie

La poule noire indonésienne est la race de poule la plus étrange, la plus chère et la plus rare au monde. On l'appelle « poule Lamborghini ». Ses œufs peuvent coûter jusqu'à 2 500 dollars et sont délicieux.
« Tout est noir chez cette poule : plumes, bec, langue, griffes, même la viande, les œufs et les os. Son sang, quant à lui, est rouge foncé, tirant sur le noir. »

samedi 14 juin 2025

Température du jour à Arvida (14 juin 2025)


 

Un remarquable doigt d’honneur

Un élément qui servira lors du défilé militaire trumpiste de Washington en ce 14 juin 2025.

Sales religions, sources de toutes les guerres


Une architecture liée à la structure des grains de maïs

Il m'a fallu des années pour comprendre que l'architecture inca et précolombienne est directement liée à la structure des grains de maïs. Dans un modèle de pensée occidental, on pourrait juger les formes irrégulières, mais dans une pensée universelle, tout est une corrélation entre le cosmos, la science, l'art et l'humanité. (Nature Fractale)
Comme vous pouvez le constater, les formes organiques de croissance sont représentées de manière logarithmique, et ces blocs pentagonaux, hexagonaux et heptagonaux coïncident avec les formes du maïs.

Juan Casco


L'asymétrie des murs contribue à dissiper l'énergie des tremblements de terre. C'étaient des ingénieurs exceptionnels. Des chercheurs japonais ont étudié le Machu Picchu après le tremblement de terre de Kobe et ont constaté que ces structures incas n'avaient pas été endommagées par un tremblement de terre.

jeudi 12 juin 2025

Température du jour à Arvida (12 juin 2025)


 

Exposition

J’aimerais pouvoir retourner au musée Granet voir cette exposition !

Lointain ciel

 Beau ciel,  n‘est-ce pas,  mais ce n’est pas le ciel d’aujourd’hui, au-dessus de ma tête !
L’été ne semble pas pressé de sortir de sa tanière !
Les massacreurs humains héritiers des Nazis lui font peut-être peur !
Ils surgissent de partout comme des pustules de peste !