Cela me semble le clown des fauteuils.
On me présentait ce spécimen décoratif afin de me convaincre de télécharger gratuitement un logiciel de décoration intérieure, Neybers (ici).
Mais j'avoue que si, théâtralement et sémiotiquement, je trouve ce fauteuil intéressant, il n'en est pas de même décorativement.
Trop de couleurs c'est comme pas assez : « aurea mediocritas », écrivait Horace, et il me semble que, dans les circonstances, il avait raison.
Un versificateur du 18e siècle, Charles Vanderbourg, rendait ainsi l'expression d'Horace, sous la forme d'un quatrain moral :
On me présentait ce spécimen décoratif afin de me convaincre de télécharger gratuitement un logiciel de décoration intérieure, Neybers (ici).
Mais j'avoue que si, théâtralement et sémiotiquement, je trouve ce fauteuil intéressant, il n'en est pas de même décorativement.
Trop de couleurs c'est comme pas assez : « aurea mediocritas », écrivait Horace, et il me semble que, dans les circonstances, il avait raison.
Un versificateur du 18e siècle, Charles Vanderbourg, rendait ainsi l'expression d'Horace, sous la forme d'un quatrain moral :
Chéris plus qu'un trésor la médiocrité ;
L'indigence humilie, et la grandeur enivre :
Loin du chaume et des cours la sagesse aime à vivre,
Et vit en sûreté.
Pour revenir au fauteuil, je craindrais de m'y asseoir : clown comme il est, se retirera-t-il quand je lui présenterai mon arrière-train ?
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