Ce piédestal représentant un être grotesque pratiquant une auto-fellation se trouve sur la tour de l'hôtel de ville de la ville allemande de Cologne (où, incidemment, plusieurs regrettables agressions sexuelles ont eu lieu, le soir de la dernière Saint-Sylvestre).
Le piédestal supporte la statue d'un archevêque-électeur de Cologne du 11 ou 12e siècle, Konrad von Hochstaden (page en anglais au bout de ce lien).
Voici cette statue en compagnie de deux autres, moins sujettes à controverses (ou à scandales, si vous êtes davantage pudique que je ne le suis) :
Je ne sais pas si l'artiste a voulu se moquer des mœurs de l'archevêque ou signifier le mépris qu'il éprouvait à son égard (peut-être était-il luthérien, la statue datant peut-être du 16e siècle et des guerres de religions), mais, quoi qu'il en soit, cela ne me semble pas très respectueux.
Mais je ne sais pas comment raisonnaient (ou raisonnent) les habitants de Cologne, ou les Allemands en général, et cela pourrait seulement être une affectueuse triviale moquerie, un peu comme celles des œuvres de Rabelais.
Le piédestal supporte la statue d'un archevêque-électeur de Cologne du 11 ou 12e siècle, Konrad von Hochstaden (page en anglais au bout de ce lien).
Voici cette statue en compagnie de deux autres, moins sujettes à controverses (ou à scandales, si vous êtes davantage pudique que je ne le suis) :
Je ne sais pas si l'artiste a voulu se moquer des mœurs de l'archevêque ou signifier le mépris qu'il éprouvait à son égard (peut-être était-il luthérien, la statue datant peut-être du 16e siècle et des guerres de religions), mais, quoi qu'il en soit, cela ne me semble pas très respectueux.
Mais je ne sais pas comment raisonnaient (ou raisonnent) les habitants de Cologne, ou les Allemands en général, et cela pourrait seulement être une affectueuse triviale moquerie, un peu comme celles des œuvres de Rabelais.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire