Cette dame peinte, on pourrait l'appeler la « Sous-Joconde » car un ingénieur français, Pascal Cotte, a découvert son portrait sous « La Joconde » de Léonard de Vinci.
Voici les deux dames, celle du dessus et celle du dessous, côte à côte :
Elles se ressemblent, ne trouvez-vous pas ?
Pascal Cotte a étudié le tableau dans ses moindres recoins en utilisant une technique connue sous le nom de Layer Amplificator Method (LAM), littéralement "méthode des couches augmentées". La technique consiste à projeter sur l’œuvre d’intenses faisceaux de lumière dans 13 différentes longueurs d'onde différentes afin de mesurer les quantités de lumière renvoyées. Les mesures, effectuées à l’aide d’un posemètre, ont permis de révéler les couches pigmentaires utilisées par Léonard de Vinci. "Nous pouvons maintenant analyser exactement ce qui se passe à l'intérieur des couches de la peinture et nous pouvons les peler comme un oignon", explique Pascal Cotte [...]. "Nous pouvons reconstruire toute la chronologie de la création du tableau", ajoute-t-il.
Un visage très différent
Les résultats indiquent la présence de quatre phases différentes ou images sous la surface de la Joconde. Parmi celles-ci, la troisième présente le portrait d’une femme différente de Mona Lisa. En apparence plus jeune, cette dernière présente des traits plus fins, un regard dans le vide et n’affiche aucun sourire. "
L'ingénieur pense qu'il ne s'agit pas de la même personne mais je pense que oui, quant à moi : il s'agit de la même personne à des âges et dans des états différents.
Voici les deux dames, celle du dessus et celle du dessous, côte à côte :
Elles se ressemblent, ne trouvez-vous pas ?
Pascal Cotte a étudié le tableau dans ses moindres recoins en utilisant une technique connue sous le nom de Layer Amplificator Method (LAM), littéralement "méthode des couches augmentées". La technique consiste à projeter sur l’œuvre d’intenses faisceaux de lumière dans 13 différentes longueurs d'onde différentes afin de mesurer les quantités de lumière renvoyées. Les mesures, effectuées à l’aide d’un posemètre, ont permis de révéler les couches pigmentaires utilisées par Léonard de Vinci. "Nous pouvons maintenant analyser exactement ce qui se passe à l'intérieur des couches de la peinture et nous pouvons les peler comme un oignon", explique Pascal Cotte [...]. "Nous pouvons reconstruire toute la chronologie de la création du tableau", ajoute-t-il.
Un visage très différent
Les résultats indiquent la présence de quatre phases différentes ou images sous la surface de la Joconde. Parmi celles-ci, la troisième présente le portrait d’une femme différente de Mona Lisa. En apparence plus jeune, cette dernière présente des traits plus fins, un regard dans le vide et n’affiche aucun sourire. "
L'ingénieur pense qu'il ne s'agit pas de la même personne mais je pense que oui, quant à moi : il s'agit de la même personne à des âges et dans des états différents.
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