C'est l'escalier de la Chartreuse de Padula dans la province de Salerne en Italie.
Je vous ai déjà parlé de cette chartreuse ici.
Comme je l'ai visitée et appréciée je m'intéresse toujours aux photos qui en sont publiées ici ou là.
Je crois que la photo que vous voyez m'est tombée sous les yeux dans cette page Facebook tantôt (mais je n'en suis pas sûr, je ne l'y ai pas retrouvée).
Je vous avais présenté de meilleurs photos de cet escalier lorsque je vous en ai parlé (allez donc voir ici).
Mais aujourd'hui, il fait si froid dehors maintenant (-11 ou -12 mais avec un vent du nord-ouest, un noroît dit-on, que je qualifierais de carnassier car il cherche à nous dévorer la chair, même celle qui est couverte) que j'ai remarqué quelque chose dont je ne m'étais jamais avisé, même lors de ma visite à la chartreuse : les fenêtres ne comportent pas de vitrages.
Sans doute, à Padula, la température n'est jamais assez froide pour qu'on ait à se protéger du dehors (si j'étais ironique je dirais que, comme quand nous habitions à Aix-en-Provence, la température intérieure est égale à la température extérieure, assez froide l'hiver, je puis en témoigner) mais cette absence me frappe aujourd'hui.
Voici le petit bâtiment qui « abrite » l'escalier : pas de vitrage, les fenêtres ouvertes à tous vent et à tous froids.
Espérons que le froid québécois ne descendra jamais jusque-là mais il ne faut jurer de rien :
Je vous ai déjà parlé de cette chartreuse ici.
Comme je l'ai visitée et appréciée je m'intéresse toujours aux photos qui en sont publiées ici ou là.
Je crois que la photo que vous voyez m'est tombée sous les yeux dans cette page Facebook tantôt (mais je n'en suis pas sûr, je ne l'y ai pas retrouvée).
Je vous avais présenté de meilleurs photos de cet escalier lorsque je vous en ai parlé (allez donc voir ici).
Mais aujourd'hui, il fait si froid dehors maintenant (-11 ou -12 mais avec un vent du nord-ouest, un noroît dit-on, que je qualifierais de carnassier car il cherche à nous dévorer la chair, même celle qui est couverte) que j'ai remarqué quelque chose dont je ne m'étais jamais avisé, même lors de ma visite à la chartreuse : les fenêtres ne comportent pas de vitrages.
Sans doute, à Padula, la température n'est jamais assez froide pour qu'on ait à se protéger du dehors (si j'étais ironique je dirais que, comme quand nous habitions à Aix-en-Provence, la température intérieure est égale à la température extérieure, assez froide l'hiver, je puis en témoigner) mais cette absence me frappe aujourd'hui.
Voici le petit bâtiment qui « abrite » l'escalier : pas de vitrage, les fenêtres ouvertes à tous vent et à tous froids.
Espérons que le froid québécois ne descendra jamais jusque-là mais il ne faut jurer de rien :
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