Le « Time » a nommé le pape François comme première personnalité de l'année.
On verra si, dans l'avenir, le « Time » devra partager avec le comité qui décerne le prix Nobel de la paix, la honte d'avoir désigné la mauvaise personne.
Le comité Nobel a décerné naguère son prix à Barack Obama pour on ne sait quelle raison (qui s'en souvient ?) et doit regretter maintenant de l'avoir décerné à un président qui utilise massivement les drones pour commettre des assassinats (on ne peut appeler un tel président « président de la paix ») ou qui a permis les dangereuses dérives que l'on sait à l'agence de sécurité étasunienne (NSA).
Sous certains aspects, Obama est un « bon nègre » plutôt qu'un « Grand Noir ».
Peut-être le pape François sera-t-il le pape que « Time » pense qu'il est et permettra-t-il à l'Église catholique de renouer avec le message de Jésus-Christ, après tant de millénaires de rupture, et de rompre enfin avec la mission purement « légaliste » que l'empereur Constantin, sa famille et ses successeurs (j'allais écrire « ses sbires ») lui ont imposée.
Mais la véritable première personnalité de l'année, classée seulement deuxième par « Time », est Edwar Snowden, surnommé, sans doute ironiquement par « Time », « le noir prophète ».
Un « grand noir » pour sa part si Snowden est véritablement aussi « noir » que « Time » le dit.
Révéler des choses que tout le monde veut cacher, enterrer même pour l'éternité, c'est la définition d'un prophète, celui qui révèle la vérité.
Je révèle pour ma part, dans ce blogue, certains mensonges restés cachés que j'ai rencontrés dans ma vie et dans l'exercice de ma profession, avec des conséquences bien moins graves que celles que subit Snowden car j'avais su les prévenir (seulement la perte d'ami(e)s qui n'en étaient pas et que je ne regrette pas) et je sais ce que ressent Snowden, même si les mensonges que je révèle sont moins importants que les révélations de Snowden.
Mais, comme disait Einstein « [l]e monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. »
Il ne faut pas être de ceux qui regardent les méchants (voire les « bons » ou ceux qui se croient tels) faire le mal et qui les laissent faire, il faut au moins être leurs dénonciateurs.
L'article de « Time » est ici.
On verra si, dans l'avenir, le « Time » devra partager avec le comité qui décerne le prix Nobel de la paix, la honte d'avoir désigné la mauvaise personne.
Le comité Nobel a décerné naguère son prix à Barack Obama pour on ne sait quelle raison (qui s'en souvient ?) et doit regretter maintenant de l'avoir décerné à un président qui utilise massivement les drones pour commettre des assassinats (on ne peut appeler un tel président « président de la paix ») ou qui a permis les dangereuses dérives que l'on sait à l'agence de sécurité étasunienne (NSA).
Sous certains aspects, Obama est un « bon nègre » plutôt qu'un « Grand Noir ».
Peut-être le pape François sera-t-il le pape que « Time » pense qu'il est et permettra-t-il à l'Église catholique de renouer avec le message de Jésus-Christ, après tant de millénaires de rupture, et de rompre enfin avec la mission purement « légaliste » que l'empereur Constantin, sa famille et ses successeurs (j'allais écrire « ses sbires ») lui ont imposée.
Mais la véritable première personnalité de l'année, classée seulement deuxième par « Time », est Edwar Snowden, surnommé, sans doute ironiquement par « Time », « le noir prophète ».
Un « grand noir » pour sa part si Snowden est véritablement aussi « noir » que « Time » le dit.
Révéler des choses que tout le monde veut cacher, enterrer même pour l'éternité, c'est la définition d'un prophète, celui qui révèle la vérité.
Je révèle pour ma part, dans ce blogue, certains mensonges restés cachés que j'ai rencontrés dans ma vie et dans l'exercice de ma profession, avec des conséquences bien moins graves que celles que subit Snowden car j'avais su les prévenir (seulement la perte d'ami(e)s qui n'en étaient pas et que je ne regrette pas) et je sais ce que ressent Snowden, même si les mensonges que je révèle sont moins importants que les révélations de Snowden.
Mais, comme disait Einstein « [l]e monde est dangereux à vivre ! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. »
Il ne faut pas être de ceux qui regardent les méchants (voire les « bons » ou ceux qui se croient tels) faire le mal et qui les laissent faire, il faut au moins être leurs dénonciateurs.
L'article de « Time » est ici.
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