C'est la logique du marché, non ?
Il s'agit de vendre.
Cette logique, Salvador Dali la connaissait qui écrivait : « Offrir le bon miel à la bonne bouche, au bon moment et au bon endroit. »
Il la connaissait cette logique, ce partisan du dictateur Franco, anobli par celui-ci.
Comme la connaissait son compatriote catalan -Samaranch- qui s'agenouillait devant le dictateur comme devant un roi et qui a transformé les jeux olympiques en entreprise soumise elle aussi au marché.
Comme la connaissent les dirigeants de la Chine.
Et les banquiers de Wall Street.
Comme la connaît le fondateur d'Ikea, partisan des doctrines nazies et des Nazis.
Il faut faire disparaître les femmes pour vendre ?
Allons-y !
Qui d'autres ?
Allons-y !
Utiliser de la drogue ou des hormones pour gagner ... de l'argent (c'est-à-dire de l'or) ?
Allons-y !
Le marché est la main invisible de Dieu.
Même le pape sait cela.
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