
Les policiers et les gens de droite diraient qu'elle a quelque rapport avec les acteurs de la photo du billet précédent (ici).
Je ne crois pas (d'autant plus que la plaque ne parle pas de « mauvaises filles » et qu'il y en a au moins une que les policiers et les gens de droite appelleraient peut-être ainsi -sans raison évidemment- sur la photo du billet précédent).
Je vous la présente parce que je veux vous faire lire un petit récit qui se passe dans un « appartement » (je dirais plutôt « chambre de bonne ») qui se trouvait rue de la Verrerie -en face de la rue des Mauvais Garçons- où habitait une Québécoise il y a quelques années.
Ce petit récit est ici.
P.S. À la suggestion de quelqu'un, j'ajoute que la plupart des politiciens actuels -aussi bien de France que de Navarre, que du Canada et que du Québec, etc.- pourraient résider dans cette rue dont le nom les décrirait avec justesse et pertinence.
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