Crédit photo: AFP PHOTO / Vogelpark Marlow / Franzi Zöger
Même si leurs discours sont des tissus de stupidités, les chefs politiciens aiment avoir autour d'eux beaucoup de perroquets pour les répéter (les chefs religieux aussi, et les dictateurs au demeurant).
On le voit à l'Assemblée nationale du Québec où Jean Charest n'a aucun problème à rassembler autour de lui de tels perroquets.
Aucun de ses prédécesseurs, de n'importe quel parti, n'a eu plus de problèmes à le faire.
On voit la chose se produire à la Chambres des communes de Sa Majesté à Ottawa depuis toujours, voire même depuis un peu plus longtemps.
Mais ces perroquets parlementaires sont tous laids et gris.
Majoritairement pas intelligents.
Angela Merkel, qui en a d'aussi laids et d'aussi gris au Bundestag (est-ce ainsi que cela s'appelle?), a décidé de laisser libre cours à sa passion des perroquets mais en en rencontrant enfin des vrais.
Des beaux!
Voyez son bonheur!
Mais, cependant, toujours aussi perroquets.
Voyez son bonheur!
Elle n'aime rien d'autre que les perroquets, comme tous les chefs politiciens, mais ceux-ci, au moins, ont de beaux plumages.
Et peut-être pas des cervelles d'oiseaux comme ceux que les chefs politiciens (et les chefs religieux aussi, et les dictateurs au demeurant) rencontrent dans leur parti (ou dans leur église, ou dans leur cour).
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