Les portraits de la Renaissance
racontaient une histoire.
Mais le premier duc de Florence ? Sa vérité était toute autre.
Alexandre de Médicis.
Né en 1510, fils de Laurent II de Médicis et d'une femme que l'on croyait d'origine africaine.
Il avait donc du sang noir et, s’il a eu des descendants, tous ses descendants aussi, dont des papes et des rois de France (tous les rois de France à partir de François II et leurs descendants vivant aujourd’hui, et des rois d’Espagne, des rois du Portugal et des rois d’Angleterre).
Imaginez : des plafonds dorés, des salles de marbre, des robes de velours… et des murmures.
Pas seulement sur la politique, mais sur l'homme sur le trône qui ne « ressemble » pas aux portraits.
Pourtant, Alexandre se déplaçait comme un maître d'échecs.
Des menaces étrangères ? Esquivées.
Des cousins qui trahissaient ? Déjoués.
Des aristocrates qui attendaient sa chute ? Ont siroté du vin pendant qu'il maintenait Florence unie.
Si vous pensez que les réunions de famille sont chaotiques, essayez un dîner avec des cousins qui complotent des coups d'État au dessert.
Il fut trahi et tué en 1537.
Mais son nom circule toujours dans les rues de Florence, preuve que le pouvoir n'est pas une question de cadre.
Il s'agit de tenir fermement la couronne pendant que tous les autres la convoitent.
Alexandre de Médicis.
Né en 1510, fils de Laurent II de Médicis et d'une femme que l'on croyait d'origine africaine.
Il avait donc du sang noir et, s’il a eu des descendants, tous ses descendants aussi, dont des papes et des rois de France (tous les rois de France à partir de François II et leurs descendants vivant aujourd’hui, et des rois d’Espagne, des rois du Portugal et des rois d’Angleterre).
Imaginez : des plafonds dorés, des salles de marbre, des robes de velours… et des murmures.
Pas seulement sur la politique, mais sur l'homme sur le trône qui ne « ressemble » pas aux portraits.
Pourtant, Alexandre se déplaçait comme un maître d'échecs.
Des menaces étrangères ? Esquivées.
Des cousins qui trahissaient ? Déjoués.
Des aristocrates qui attendaient sa chute ? Ont siroté du vin pendant qu'il maintenait Florence unie.
Si vous pensez que les réunions de famille sont chaotiques, essayez un dîner avec des cousins qui complotent des coups d'État au dessert.
Il fut trahi et tué en 1537.
Mais son nom circule toujours dans les rues de Florence, preuve que le pouvoir n'est pas une question de cadre.
Il s'agit de tenir fermement la couronne pendant que tous les autres la convoitent.
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