L'enseigne d'une boutique à Baie-Saint-Paul.
Je ne sais pas si Puccini verrait la chose d'un bon œil.
On n'y vend, à ma connaissance, ni vêtements d'opéra, ni vêtements japonais.
Les propriétaires aiment peut-être cet opéra, exemple de racisme occidental.
Qui dure encore !
En tous cas, sur les enseignes de la rue Sainte-Catherine à Montréal, elle a l'évidente supériorité d'être en français, et d'attirer, par conséquent, les gens distingués !
Les mots de l'enseigne font fredonner, à ceux-ci, « Un bel dì, vedremo ».
Je ne sais pas si Puccini verrait la chose d'un bon œil.
On n'y vend, à ma connaissance, ni vêtements d'opéra, ni vêtements japonais.
Les propriétaires aiment peut-être cet opéra, exemple de racisme occidental.
Qui dure encore !
En tous cas, sur les enseignes de la rue Sainte-Catherine à Montréal, elle a l'évidente supériorité d'être en français, et d'attirer, par conséquent, les gens distingués !
Les mots de l'enseigne font fredonner, à ceux-ci, « Un bel dì, vedremo ».
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