C'est le personnage le plus sympathique (selon moi) des « Gardiens de la Galaxie 2 » que je viens de voir après-midi.
Le petit Grout (c'est son nom) est une pousse du Grout des « Gardiens de la Galaxie I », malheureusement brûlé.
Ce sont des êtres-arbres intelligents dont le langage consiste en une seule phrase : « Je s'appelle Grout », qui dit tout ce qu'ils désirent dire à condition qu'un autre personnage, le Raton-laveur intelligent, par exemple, serve de traducteur.
Le film numéro 2, plus orienté vers le public étasunien et vers les amateurs de chansons étasuniennes des années 80, m'a semblé moins bon, quoique plus savant et chargé d'intertextes, que le numéro 1, à cause de ses longueurs.
Mais le scénario, que l'on aurait pu intituler « L'Histoire secrète de Dieu », m'a semblé jeter une lumière définitive sur cette triste histoire d'un Créateur et d'un fils humain qu'il aurait engendré pour l'aider dans ce qu'il croit sa mission (vous voyez ce que je veux dire).
Cette triste histoire nous permet d'en arriver à la conclusion, à laquelle je suis arrivé également par d'autres voies, qu'il vaut mieux qu'il n'existe pas de Dieu.
Profond, métaphysiquement profond, n'est-ce pas, pour un film étasunien ?
Le petit Grout (c'est son nom) est une pousse du Grout des « Gardiens de la Galaxie I », malheureusement brûlé.
Ce sont des êtres-arbres intelligents dont le langage consiste en une seule phrase : « Je s'appelle Grout », qui dit tout ce qu'ils désirent dire à condition qu'un autre personnage, le Raton-laveur intelligent, par exemple, serve de traducteur.
Le film numéro 2, plus orienté vers le public étasunien et vers les amateurs de chansons étasuniennes des années 80, m'a semblé moins bon, quoique plus savant et chargé d'intertextes, que le numéro 1, à cause de ses longueurs.
Mais le scénario, que l'on aurait pu intituler « L'Histoire secrète de Dieu », m'a semblé jeter une lumière définitive sur cette triste histoire d'un Créateur et d'un fils humain qu'il aurait engendré pour l'aider dans ce qu'il croit sa mission (vous voyez ce que je veux dire).
Cette triste histoire nous permet d'en arriver à la conclusion, à laquelle je suis arrivé également par d'autres voies, qu'il vaut mieux qu'il n'existe pas de Dieu.
Profond, métaphysiquement profond, n'est-ce pas, pour un film étasunien ?
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