Pour échapper à la souffrance, comme l'écrit Kundera, on se réfugie dans l'avenir, l' « avenir radieux » des staliniens et autres marxistes et le « progrès » des néo-libéraux, ou dans l'au-delà, le paradis après la mort qui est l'illusoire avenir des croyants, mais aussi dans le passé qui serait, comme le croient les ignorants, « une épopée des plus brillants exploits » ou le temps de la grandeur qu'il faudrait restaurer.
L'avenir n'existe pas, ni l'au-delà, et le passé est un mensonge.
L'avenir n'existe pas, ni l'au-delà, et le passé est un mensonge.
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