C'est une photo d'une quelconque ville étasunienne après le passage d'un ouragan, d'une tornade ou d'un cyclone comme en connaît tant ce pays.
(Je me félicite parfois que le Nouvelle-France ne s'y étende plus tant les cataclysmes se succèdent dans l'espace que l'empire français occupait en Amérique du Nord et que la naïve France croyait reconquérir en aidant les Étasuniens à gagner leur « liberté » contre l'Angleterre).
Je vous la présente, cette photo, parce qu'elle vous permet de pressentir ce que vous devez attendre de la part de celle que les Chrétiens appellent « la Vierge » en cas de catastrophe : une sérénité, une indifférence, qui est celle-là même de sa statue parmi les ruines.
Regardez-la de plus près :
On voit pourquoi le Galiléen était exaspéré lorsqu'elle imposait sa présence, accompagnée de sa famille, dans ses pérégrinations.
(Je me félicite parfois que le Nouvelle-France ne s'y étende plus tant les cataclysmes se succèdent dans l'espace que l'empire français occupait en Amérique du Nord et que la naïve France croyait reconquérir en aidant les Étasuniens à gagner leur « liberté » contre l'Angleterre).
Je vous la présente, cette photo, parce qu'elle vous permet de pressentir ce que vous devez attendre de la part de celle que les Chrétiens appellent « la Vierge » en cas de catastrophe : une sérénité, une indifférence, qui est celle-là même de sa statue parmi les ruines.
Regardez-la de plus près :
On voit pourquoi le Galiléen était exaspéré lorsqu'elle imposait sa présence, accompagnée de sa famille, dans ses pérégrinations.
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