Quand on voyait cette belle fontaine, à Madrid, la « Fontaine de Cybèle », sur la place du même nom, après avoir cheminé sur le Paseo del Prado, en revenant (évidemment) du Prado, on savait qu'on allait bientôt devoir tourner à gauche, vers la Calle de Alcala pour rentrer à notre hôtel ou continuer vers la Puerta del Sol et, plus loin, vers les terrasses de la Plaza de Oriente.
Mais on ne pouvait pas ne pas marcher plus lentement afin de mieux admirer la fontaine dédiée à la jalouse amoureuse d'Attis, le dieu castré.
Peut-être ce dieu a-t-il quelque chose à voir (à nos yeux) avec la destinée de l'Espagne, du moins de l'Espagne du 20e siècle et avec sa grande et répugnante balafre franquiste.
Mais on ne pouvait pas ne pas marcher plus lentement afin de mieux admirer la fontaine dédiée à la jalouse amoureuse d'Attis, le dieu castré.
Peut-être ce dieu a-t-il quelque chose à voir (à nos yeux) avec la destinée de l'Espagne, du moins de l'Espagne du 20e siècle et avec sa grande et répugnante balafre franquiste.
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