C'est l'en-tête d'une interview parue dans le magazine « Science & vie » du mois d'août dernier et portant sur les poils dans l'espèce humaine (veuillez excuser la numérisation imparfaite, s'il vous plaît).
Alexandra Pihen, pour le magazine, posait des questions à Priscille Touraille, socio-anthropologue, spécialiste de l'influence du social sur le biologique.
Voici l'interview (sous format « image » et non sous format « texte », excusez ma paresse) :
Paragraphes 1 et 2
Paragraphes 3 et 4
Et voici une carte de la Terre avant la conquête européenne du Nouveau Monde au 16e siècle (je ne suis pas sûr que la carte est exacte pour le Groenland, l'Australie et la Nouvelle-Zélande où, comme dans ce que les conquérants ont appelé « l'Amérique », la population autochtone devait être imberbe) :
Alexandra Pihen, pour le magazine, posait des questions à Priscille Touraille, socio-anthropologue, spécialiste de l'influence du social sur le biologique.
Voici l'interview (sous format « image » et non sous format « texte », excusez ma paresse) :
Paragraphes 1 et 2
Paragraphes 3 et 4
Et voici une carte de la Terre avant la conquête européenne du Nouveau Monde au 16e siècle (je ne suis pas sûr que la carte est exacte pour le Groenland, l'Australie et la Nouvelle-Zélande où, comme dans ce que les conquérants ont appelé « l'Amérique », la population autochtone devait être imberbe) :
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