C'est peut-être une représentation de Mathusalem, le patriarche biblique (absolument fictif, donc, comme tous les personnages de la Bible), le petit-fils de Caïn, l'assassin de son frère Abel, et le grand-père de Noé, le constructeur de l'Arche du même nom (que de fictions dans ce livre !).
Il aurait vécu plus de 900 ans, y écrit-on (vous savez ce que j'en pense).
Il aurait vécu bien moins longtemps si des compagnies vendant de l'assurance-vie avaient été fondées à son époque.
Car voici ce qu'on apprend dans un numéro du magazine « Books » (ici) :
Le développement de l’assurance-vie a fait chuter l’espérance de vie.
N’imaginez pas que l’on ait hâté la fin des souscripteurs ! Simplement, explique David Boy Haycock dans Mortal Coil, les concepteurs du système avaient besoin de données fiables sur l’espérance de vie pour que le système soit rentable. Tout au long du XIXe siècle, les statistiques de mortalité se sont donc accumulées, et les vieillards qui se vantaient sans preuve d’avoir 150 ou 200 ans ont disparu.
Il est étonnant que les personnages et les histoires mis en scène et racontés dans la Bible n'aient pas été, comme ces vieillards vantards, placés dans « les poubelles de l'histoire », comme disaient les marxistes, eux aussi auteurs féconds de fictions.
Ils le seront bientôt !
Les marxistes (et leurs innombrables victimes, hélas) y pourrissent déjà !
Il aurait vécu plus de 900 ans, y écrit-on (vous savez ce que j'en pense).
Il aurait vécu bien moins longtemps si des compagnies vendant de l'assurance-vie avaient été fondées à son époque.
Car voici ce qu'on apprend dans un numéro du magazine « Books » (ici) :
Le développement de l’assurance-vie a fait chuter l’espérance de vie.
N’imaginez pas que l’on ait hâté la fin des souscripteurs ! Simplement, explique David Boy Haycock dans Mortal Coil, les concepteurs du système avaient besoin de données fiables sur l’espérance de vie pour que le système soit rentable. Tout au long du XIXe siècle, les statistiques de mortalité se sont donc accumulées, et les vieillards qui se vantaient sans preuve d’avoir 150 ou 200 ans ont disparu.
Il est étonnant que les personnages et les histoires mis en scène et racontés dans la Bible n'aient pas été, comme ces vieillards vantards, placés dans « les poubelles de l'histoire », comme disaient les marxistes, eux aussi auteurs féconds de fictions.
Ils le seront bientôt !
Les marxistes (et leurs innombrables victimes, hélas) y pourrissent déjà !
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