Il y avait ces lèvres de Madame Butterfly sur l'affiche de la représentation de l'opéra de Puccini à l'Opéra de Montréal en 2008 (souvenir inoubliable pour moi).
(Je vous présente cette affiche au bas de ce billet, juste avant la vidéo).
Le rouge -appliqué de manière un peu trop littérale peut-être- me fascinait, comme celui de la reine Amidala dans la « Guerre des étoiles ».
Vous vous souvenez ?
C'est comme si ces dispositions inédites du rouge allaient permettre de nouvelles variantes du baiser.
Plus enthousiasmantes encore.
Comme on reste adolescent toujours, malgré l'âge.
Et il y a cette aria où l'on est sûr du bonheur, qui n'arrivera pourtant jamais !
(Je vous présente cette affiche au bas de ce billet, juste avant la vidéo).
Le rouge -appliqué de manière un peu trop littérale peut-être- me fascinait, comme celui de la reine Amidala dans la « Guerre des étoiles ».
Vous vous souvenez ?
C'est comme si ces dispositions inédites du rouge allaient permettre de nouvelles variantes du baiser.
Plus enthousiasmantes encore.
Comme on reste adolescent toujours, malgré l'âge.
Et il y a cette aria où l'on est sûr du bonheur, qui n'arrivera pourtant jamais !
Un bel dì, vedremo
Un bel dì, vedremo
Levarsi un fil di fumo
Sull'estremo confin del mare
E poi la nave appare
E poi la nave è bianca.
Entra nel porto, romba il suo saluto.
Vedi? È venuto!
Io non gli scendo incontro, io no.
Mi metto là sul ciglio del colle
E aspetto gran tempo
e non mi pesa a lunga attesa.
E uscito dalla folla cittadina
Un uomo, un picciol punto
S'avvia per la collina.
Chi sarà? Chi sarà?
E come sarà giunto
Che dirà? Che dirà?
Chiamerà Butterfly dalla lontana
Io senza far risposta
Me ne starò nascosta
Un po' per celia,
Un po' per non morire
Al primo incontro,
Ed egli al quanto in pena
Chiamerà, chiamerà :
« Piccina - mogliettina
Olezzo di verbena »
I nomi che mi dava al suo venire.
Tutto questo avverrà,
te lo prometto
Tienti la tua paura -
Io con sicura fede lo aspetto.
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