mercredi 19 mars 2025

Température du jour à Arbida (19 mars 2025)

 

Le couteau (suisse) des soldats romains

Le couteau de l'armée romaine, utilisé entre 201 et 300 après J.-C., était un outil polyvalent détenu par les légionnaires romains. Il comprenait une cuillère, un couteau, une fourchette, une pique, une spatule et un pic pour manger et se laver les dents. Fabriqué en fer ou en bronze, cet instrument compact, antérieur de plus de 1 600 ans au couteau suisse moderne, témoigne de l'ingéniosité de l'ingénierie romaine et du besoin des légionnaires de disposer d'un équipement portable et multifonctionnel pendant les campagnes militaires. Présent dans tout l'Empire romain, comme le spécimen conservé au Fitzwilliam Museum, il souligne l'importance accordée à la discipline et à l'autonomie, notamment pendant la crise du IIIe siècle (235-284 après J.-C.), une période d'instabilité où les légions dépendaient de ces outils pour leur survie quotidienne, confrontées à des déplacements constants et à des défis logistiques.

Ce qu'il y a dans ce qui sert de tête à ce connard

Ce qu'il y a dans ce qui sert de tête à ce connard, en voici la preuve !
 

Le Rocher Percé dans la brume

Tous droits réservés : 2025 Patrice Labbé

Une autre photo digne de rendre jaloux William Turner !

Une paume humaine de plus de 2 000 ans


Une brique romaine vieille de 2 000 ans, découverte à Cherchell en Algérie, porte l’empreinte d’une main humaine, offrant un aperçu extraordinaire du passé. L’empreinte, attribuée à un homme romain de grande taille, a été imprimée dans la brique alors qu’elle était encore humide, juste avant d’être placée dans le four pour sa stabilisation. En l’observant de près, les textures de la peau et les empreintes digitales sont clairement visibles, créant un lien tangible et direct avec les habitants de la Rome antique.  

Cette découverte, réalisée lors de fouilles dans la ville historique de Cherchell, anciennement connue sous le nom de Caesarea Mauretaniae, a captivé les chercheurs et les archéologues. Cherchell, une colonie romaine prospère située sur la côte méditerranéenne, était autrefois la capitale du royaume berbère de Maurétanie avant de devenir une importante colonie romaine. La ville était un centre animé de commerce et de culture, réputé pour son architecture, sa céramique, ses objets en verre et ses produits agricoles.  

L’empreinte laissée sur cette brique a suscité un regain d’intérêt pour la vie quotidienne des habitants de la ville, offrant des aperçus rares sur les techniques de construction utilisées par les Romains. Les détails visibles dans l’empreinte suggèrent qu’elle a été faite par un homme adulte, probablement un ouvrier qualifié ou un artisan impliqué dans la production de briques. La position de l’empreinte sur la brique indique qu’elle a été réalisée lors des dernières étapes du processus de fabrication, lorsque l’argile était encore malléable avant la cuisson.  

Grâce à cet artefact, les chercheurs peuvent même imaginer la texture de la peau de l’homme, la forme de ses doigts et les lignes de sa paume—ajoutant une touche personnelle à un objet autrement impersonnel. L’empreinte est souvent qualifiée de « signature de l’artiste », en faisant une forme rare d’expression humaine ancienne.  

Cet artefact unique est conservé au Musée archéologique de Cherchell, où il continue de captiver ceux qui s’intéressent aux histoires personnelles derrière les objets anciens.


 

mardi 18 mars 2025

Température du jour à Arvida (18 mars 2025)

Les dictateurs vendeurs de voiture

Trump et Hitler en vendeurs de voiture (aucun des deux ne sait conduire, et pas seulement les voitures)

Une « lune de sang » à Sydney

Une splendide « lune de sang » à Sydney en Australie, le 14 mars 2025, au-dessus du bâtiment de l’Opéra qui semble vouloir voler à la rencontre de l’astre de la nuit.

Une tactique de réponse aux appels

 

Vous reconnaissez cette tactique des administrations publiques ou des corporations privées ?

C’est l’homme qui a créé dieu, et tous les dieux, et tous les diables

C’est ce que Michel Ange aurait dû peindre au lieu de ce qu’il a peint dans la Sixtine s’il n’avait pas été intoxiqué dès sa naissance, comme nous tous, par la religion satanique chrétienne, car ce n’est pas un dieu qui a créé l’homme mais l’homme qui a créé dieu (et tous les dieux et ces êtres fantasmés qui n’existent pas, comme Satan, par exemple).