dimanche 21 septembre 2025

Température du jour à Arvida (21 septembre 2025)


 

Un intellectuel

Voici un intellectuel !

Imiter des connards

C’est tellement facile quand ce sont des nouveaux milliardaires étasuniens, ils sont aussi connards que Trump !

Dégueulasse trumpisation chez Apple

 Pour moi, l’interface graphique « Liquid glass » dont Apple a affligée ses systèmes d’exploitation « ios » sur ses ipad, iphone, etc. est l’équivalent des feuilles d’or de Trump à la Maison-Blanche et je déteste cette trumpisation de mauvais goût d’appareils que j’aimais beaucoup jusqu’ici !

vendredi 19 septembre 2025

Température du jour à Arvida (19 septembre 2025)


 

Des êtres issus uniquement de l’imagination

 Lisez bien ce que dit ce chat faisant un parallèle entre lui et Dieu, l’un et l’autre étant des êtres issus de l’imagination !

Artémis d’Éphèse

C’est la statue de la déesse ARTÉMIS qui se trouvait dans l’Antiquité dans le temple d’Éphèse mais qui se trouve maintenant au Musée archéologique national de Naples.
Je ne sais comment cette statue à échappé aux fanatiques destructions chrétiennes et pourquoi sa peau est noire.
Le grand nombre de seins symbolisent sa fertilité.

La statue de Joséphine Baker

La statue de Joséphine Baker par Nikki de St-Phalle, à l’exposition du Musée national des beaux-arts du Québec.
Josephine Baker, pour devenir la geande dame et artiste qu’elle était de naissance, a dû, comme vous le savez peut-être, s’exiler des racistes USA, où elle était évidemment ostracisée, pour se réfugier en France où on lui a donné une place après sa mort au Panthéon, là où on accueille ceux et celles qu’on considère comme les grands hommes et les grandes femmes du pays.
Que pensez-vous qu’elle serait devenue si elle s’était plutôt exilée au Canada, ce méprisable pays qui, à cause de sa majorité de citoyens de langue anglaise, ne songe qu’à misérablement imiter les criminels USA ?

jeudi 18 septembre 2025

Température du jour à Arvida (18 septembre 2025)


 

L’arbre de la liberté et de la tyrannie

« L’arbre de la liberté et de la tyrannie » de Nikki de St-Phalle, présentée à l’exposition consacrée présentement à cette artiste au Musée national des beaux-arts de Québec !
L’arbre en noir et blanc et la tyrannie en forme de crâne de mort dorée représente bien la situation actuelle des USA, où l’artiste a créé l’œuvre, sous la connasse, merdeuse et méprisable  tyrannie Trump !

De la merde emballée dans du papier doré

Pour employer l’expression d’un ami, le festin en l’honneur de Trump  au château de Windsor c’est comme de la merde emballée dans du papier doré !

lundi 15 septembre 2025

Température du jour à Arvida (15 septembre 2025)


 

L’agneau et le berger

Le mouton craint le loup toute sa vie et portant c’est le berceau qui le mange !
Proverbe géorgien 

(Transcrivez le proverbe en des termes religieux et. vous le comprendrez mieux : ce n’est pas Satan que tous craignent qui viole les enfants mais les curés !)
 

Énormité

C’est ainsi que l’on peut prendre conscience de l’énormité de mont Fuji : il semble écraser tout ce qui l’entoure !
 

Un visage bientôt tuméfié et deux yeux au beurre noir

C‘est l'état des USA,  sinon du monde, depuis le début des gazouillis et autres niaiseries de Trump !
Quand ce typique étasunien des bas-fonds aura déféqué son dernier gazouillis, l’autre œil de Washington sera-t-il au beurre noir ?
Je n'en doute pas !
Tout son visage sera tuméfié !

dimanche 14 septembre 2025

Température du jour à Arvida (14 septembre 2025)


 

La statue équestre de Marc Aurèle : la supériorité de la philosophie grecque sur les fictions chrétiennes

La statue équestre en bronze de Marc Aurèle est l'un des monuments les plus emblématiques de la Rome antique encore debout. Initialement érigée sur la colline du Capitole, elle a été transférée aux Musées du Capitole en 1990 pour la protéger des intempéries. Une réplique fidèle a été installée sur la place en 1997, permettant ainsi aux visiteurs de profiter de la grandeur de cette œuvre monumentale dans son cadre historique.

Mesurant 4 mètres de haut, près de 4 mètres de large et pesant plus de 2 500 kilogrammes, la statue représente l'empereur s'adressant à ses citoyens, le bras tendu, dans un geste appelé allocutio. Des traces de dorure indiquent qu'elle était autrefois recouverte d'or brillant, ce qui la rend encore plus saisissante. Les spécialistes pensent qu'elle a été créée vers 176 après J.-C. pour commémorer la victoire de Marc Aurèle sur les tribus germaniques, ou peut-être en 180 après J.-C., peu après sa mort.

Étonnamment, la survie de la statue est due à une erreur d'identité. Pendant des siècles, on a cru qu'il représentait Constantin le Grand, le premier empereur chrétien, et il a donc été préservé de la fonte. Cette confusion est née de similitudes faciales avec des figures de l'Arc de Constantin, bien que des preuves ultérieures aient révélé que certains reliefs de l'Arc étaient en réalité des réutilisations de monuments de Marc Aurèle lui-même.

 

La vérité des religions

La vérité sur les prélats et les membres du clergé de toutes les religions !
 

Ne pas faire de l’ombre

Cela me semble s’adresser prioritsrement aux USA de Trump !

samedi 13 septembre 2025

température du jour à Arvida (13 septembre 2025)


L’extrême droite étasunienne est composée majoritairement de criminels et de leurs complices


 

Delphes

Quand j’ai vu ce théâtre, comme il avait neigé le jour précédent, le mont Parnasse avait de froides blancheurs : hommage à des visiteurs québécois ? 
Niché sur les pentes du mont Parnasse, le théâtre antique de Delphes est un témoignage époustouflant du génie culturel et architectural grec. Construit au IVe siècle avant J.-C., il pouvait accueillir environ 5 000 spectateurs venus assister à des représentations théâtrales, des concours musicaux et des cérémonies religieuses lors des Jeux Pythiques. Avec pour toile de fond la vallée et le golfe de Corinthe, le théâtre offrait non seulement du divertissement, mais aussi un lien profond avec le monde naturel et spirituel. Son acoustique exceptionnelle et ses gradins en pierre bien conservés continuent d'impressionner les visiteurs aujourd'hui, offrant un aperçu saisissant de la vie artistique et communautaire de la Grèce antique. Le théâtre de Delphes demeure un symbole durable du patrimoine classique et de la créativité humaine

L’infini et le minuscule

Ce minuscule avion, symbole d’une minuscule humanité, pourtant pleine d’orgueuil, bientôt absorbée dans l’infini univers !

Éphèse

Ma femme et moi avons marché dans les ruines de cette superbe ville, dont on peut écrire ceci :

« Nichée au cœur des ruines antiques d'Éphèse, dans l'actuelle Turquie, la rue des Curètes est un remarquable témoignage de la vie urbaine romaine. Cette majestueuse avenue pavée de marbre était autrefois l'une des principales artères de la ville, grouillant de commerçants, de philosophes et de pèlerins. Bordée d'élégants monuments, de fontaines et de statues, elle reliait le cœur d'Éphèse à d'importants bâtiments publics, dont la célèbre bibliothèque de Celse. La rue tire son nom des Curètes, une classe de prêtres qui jouaient un rôle essentiel dans les cérémonies religieuses locales. Aujourd'hui, les visiteurs peuvent parcourir ce chemin historique et s'émerveiller devant les mosaïques et les colonnes complexes qui racontent les histoires d'une époque révolue. La rue des Curètes offre un aperçu saisissant de la sophistication et de la grandeur de l'Éphèse antique, offrant un voyage inoubliable à travers l'histoire. »

La lune et les Pléiades

La nuit dernière, les étoiles nommées « les Pléiades » devaient flotter à côté de la lune.
Je ne les ai pas vues !
Vous oui peut-être, mais, en tous cas, cette image permet d’imaginer la chose !

jeudi 11 septembre 2025

Température du jour à Arvida (11 septembre 2025)


 

L’épée qui répond à l’épée




 

Un singe-doigt

Voici le singe-doigt, aussi connu sous le nom de ouistiti pygmée, c'est le plus petit singe du monde — et oui, il est 100 % réel.

Originaire de la forêt amazonienne, ce minuscule primate pèse un peu plus de 100 grammes et peut tenir dans la paume de votre main, même à l'âge adulte.

Malgré leur taille, ce sont d'excellents grimpeurs et passent la majeure partie de leur vie à sauter d'un arbre à l'autre, se nourrissant de sève, de fruits et d'insectes.

C'est la preuve que dans la forêt tropicale, même les plus petites créatures peuvent s'épanouir avec la même énergie et le même instinct de survie que les géants.


Voyelle

C’est un problème de français, pas de scolarité !

mercredi 10 septembre 2025

Température du jour à Arvida (10 septembre 2025)


 

Imblairable langue française


 

Sapiens et Néandertaliens

Paléoanthropoarchéologue français, Ludovic Slimak, livre, « Néandertal Nu »

(...) “(Ludovic Slimak) souligne que l'artisanat préhistorique de l'Homo Sapiens et celui de Neandertal sont très différents. "Nous ne savons peut-être pas grand-chose sur les Néandertaliens", poursuit-il, "mais nous pouvons voir quelque chose d'incroyable à travers ce qu'ils ont créé. Les outils en silex de l'Homo Sapiens, datant de dizaines de milliers d'années et provenant de différentes parties du monde, sont toujours les mêmes. Standardisés. Cela ne peut pas être culturel. Il y a probablement eu peu de contacts entre ces différents peuplements. "Il y a quelque chose d'inné dans le comportement de l'Homo Sapiens - dans notre comportement - qui nous pousse à agir et à penser d'une certaine manière. C'est dans notre nature. L'artisanat néandertalien, cependant, ne partage pas ce modèle de standardisation. "Regardez attentivement les outils et les armes néandertaliens. Ils sont tous uniques. Étudiez-en des milliers et vous verrez qu'ils sont tous complètement différents. Mes collègues n'en ont jamais pris conscience. Mais quand je l'ai fait, j'ai vu qu'il y avait une profonde divergence dans la façon dont l'Homo Sapiens et les Néandertaliens comprennent le monde.
Historiquement, il pense que l'humanité a eu un problème. "Pour vraiment comprendre quelque chose, il faut pouvoir le comparer à quelque chose d'autre. Mais nous, en tant que Sapiens ? Nous n'avons jamais eu d'espèce à laquelle nous comparer". Oui, il existe d'autres animaux : les grands singes, les chimpanzés, les gorilles. "Mais nous avons divergé de ces créatures il y a peut-être 10 millions d'années. Bien sûr, par rapport à un gorille, nous avons plus de créativité et de compétences. Cela nous donne une certaine image de nous-mêmes, une image de supériorité. Mais que se passe-t-il si nous nous comparons à quelque chose de beaucoup plus proche - quelque chose qui ressemble beaucoup plus à l'humanité, bien que différent, et qui n'a disparu qu'il y a 40 000 ans ? Imaginez, suggère-t-il, à quel point nous nous verrions différemment si nous étions confrontés à des extraterrestres hyperintelligents.
Slimak estime que cette comparaison peut et doit être faite avec les Néandertaliens. "Leurs outils et leurs armes sont plus uniques que les nôtres. En tant que créatures, ils étaient bien plus créatifs que nous. Les Sapiens sont efficaces. Collectifs. Nous pensons de la même manière et n'aimons pas les divergences. Et je ne parle pas seulement de la culture occidentale. Allez dans n'importe quelle société aborigène : il y a des règles et des coutumes claires, et des styles vestimentaires communs. On s'attend à ce que les gens agissent d'une certaine manière, à ce qu'ils suivent des règles. Selon lui, nos ancêtres vivaient ainsi de manière instinctive. "Ce n'est pas le cas des Néandertaliens. En considérant les Néandertaliens comme un point de référence auquel nous pouvons nous mesurer, Slimak estime que l'humanité se voit offrir un cadeau : "Nous avons l'occasion de nous regarder dans un miroir et de nous voir tels que nous sommes vraiment. Pour nous aider à nous redéfinir, ce que nous devons faire de toute urgence".
Pour lui, il ne s'agit pas seulement d'une théorie philosophique intéressante. "Je pense que les Néandertaliens ont disparu en raison de la grande efficacité de l'homme. Et cette efficacité menace aujourd'hui de nous détruire également. C'est ce qui tue la biodiversité de la planète". Pour Slimak, The Naked Neanderthal n'est pas un livre d'histoire. "Il s'agit de notre présent. Il exhorte l'humanité à se voir telle qu'elle est en nous comparant à quelque chose d'autre, dans l'espoir de changer le cours de notre avenir. Car c'est en comprenant notre nature - et le risque que cette efficacité pose - que nous pourrons nous préserver d'un destin similaire". Au fil des millénaires, l'humanité a également développé une technologie et une culture avancées et impressionnantes, d'un type que les Néandertaliens n'auraient jamais pu imaginer. "Ainsi, même si notre nature a quelque chose de dangereux, en tant que collectivité, nous pouvons la contrôler et la remodeler. Comprendre cela est la clé de l'avenir de l'humanité. Car si nous ne réfléchissons pas bien, la prochaine fois, ce ne seront pas les Néandertaliens que notre efficacité détruira, ce sera l'humanité elle-même qui en sera la victime".

Quelque chose qui n’a pas de remède

« Vous êtes sur la Terre, il n’y a pas de remède pour cela. »

Samuel Beckett



 

Le calcul de la mort des étoiles

En 1930, Subrahmanyan Chandrasekhar, un étudiant en physique de 19 ans originaire de Madras, embarqua pour l'Angleterre. Il avait obtenu une bourse grâce à son génie et sa persévérance, n'emportant avec lui que des livres, du papier et un esprit agité.
Sur le pont, il endura la solitude et les préjugés. Les autres passagers gardaient leurs distances, mais Chandrasekhar se plongea dans les travaux de Bohr, Heisenberg et Schrödinger. Dans cette solitude, il commença à calculer le destin des étoiles.
Il découvrit que les naines blanches – les noyaux consumés des étoiles – ne pouvaient survivre que si elles étaient plus légères que 1,44 fois la masse de notre Soleil. Au-delà de ce seuil, aujourd'hui appelé la limite de Chandrasekhar, aucune force ne pouvait empêcher l'effondrement. L'étoile s'effondrerait sur elle-même, formant finalement ce que nous appelons aujourd'hui un trou noir.
À son arrivée à Cambridge, ses idées furent rejetées. Ralph Fowler ne lui apporta guère de soutien. Arthur Eddington, figure emblématique de l'astronomie, le ridiculisa publiquement. Mais Chandrasekhar persista, publia ses travaux et attendit patiemment que l'univers lui donne raison.
Plus de cinquante ans plus tard, en 1983, il reçut le prix Nobel de physique pour ses contributions à l'évolution stellaire et pour ce calcul solitaire effectué en mer d'Arabie.
Le jeune homme, resté seul sur le pont, avait pressenti l'une des vérités les plus profondes du cosmos : même les étoiles les plus brillantes sont vouées à s'effondrer dans l'obscurité.
Et que ceux que l’on considère comme de grands savants ou qui se considèrent eux-mêmes comme tels sont très souvent des nouilles !