En haut vous voyez le buste de l'empereur Caracalla tel que le temps nous l'a livré.
Les trois bustes suivants sont des essais de colorisation : on tente de retrouver l'aspect que les Romains ont vu de l'empereur.
Les historiens prétendent que le dernier présente Caracalla sous un aspect trop indulgent : on sait, en effet, que celui-ci a assassiné lui-même son frère Géta que leur mère tenait dans ses bras (on ne sait pas si c'est pour apporter son aide à l'assassinat ou pour tenter de protéger son fils cadet : j'opterais, pour ma part, pour la première hypothèse).
Ces historiens préfèrent donc la première colorisation, où le caractère cruel de Caracalla ressort mieux.
La 2e colorisation me semble moins vraisemblable car Caracalla était d'origine nord-africaine, par ses parents, et il me semble que lui donner des yeux verts ne convient pas.
Mais je voudrais souligner la force du maquillage (la colorisation est est un) dans la mise en valeur ou le camouflage du véritable caractère de celui (ou celle) qui y a recours.
Les trois bustes suivants sont des essais de colorisation : on tente de retrouver l'aspect que les Romains ont vu de l'empereur.
Les historiens prétendent que le dernier présente Caracalla sous un aspect trop indulgent : on sait, en effet, que celui-ci a assassiné lui-même son frère Géta que leur mère tenait dans ses bras (on ne sait pas si c'est pour apporter son aide à l'assassinat ou pour tenter de protéger son fils cadet : j'opterais, pour ma part, pour la première hypothèse).
Ces historiens préfèrent donc la première colorisation, où le caractère cruel de Caracalla ressort mieux.
La 2e colorisation me semble moins vraisemblable car Caracalla était d'origine nord-africaine, par ses parents, et il me semble que lui donner des yeux verts ne convient pas.
Mais je voudrais souligner la force du maquillage (la colorisation est est un) dans la mise en valeur ou le camouflage du véritable caractère de celui (ou celle) qui y a recours.
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