Crédits photo : Denis Déziel
Un traîneau vice-royal, ce matin, dans « Le Devoir », à propos d'une exposition, intitulée « Tirées par les chevaux », qui sera bientôt présentée au Musée de la civilisation de Québec.
Il est élégant et il a servi aux représentants de la monarchie britannique sur les terres de l'Amérique du nord britannique dans les dernières décennies du dix-neuvième siècle et dans les premières du vingtième.
Il montre que les institutions ont dû adapter les protocoles et défilés royaux et vice-royaux aux conditions climatiques qui existaient (et existent toujours, hélas) dans cette partie du monde où il y a, hélas, le Québec.
Ces défilés n'ont plus lieu aujourd'hui et, l'hiver, quand on sort les vice-rois (ou reines) et autres gouverneurs généraux et lieutenant-gouverneurs de leurs résidences ou qu'on reçoit le monarque britannique, on utilise des voitures automobiles plutôt que des véhicules hippomobiles.
On a d'ailleurs réduit ces sorties et ces visites hivernales, on ne sort ou ne reçoit plus qu'à l'été : plus besoin de traîneaux vice-royaux ou royaux !
Calèches et, surtout, traîneaux prennent le chemin des musées.
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