Je suis toujours étonné de l'ingéniosité des publicitaires québécois quand il s'agit de suggérer la fleur de lys.
Ici, comme vous le constatez, on s'est servi d'un épi de blé et de deux feuilles de sa tige pour produire ce qu'on pourrait peut-être appeler un « blé de lys ».
Je me demande si cela plaît davantage aux boulangers membres du Conseil de Boulangerie du Québec (voir l'image ci-dessous) ou aux consommateurs de leur pain.
J'aurais tendance à penser que cela plaît davantage aux boulangers qui se définissent ainsi eux-mêmes et définissent leur produit comme québécois.
Le consommateur québécois, quant à lui, plutôt pleutre et irrémédiablement atteint du syndrome de Stockholm (il aime son bourreau et se rend même complice de ses crimes, génocides et autres massacres, dans le passé et dans le présent), a tendance à faire passer son intérêt national en dernier lieu.
Ici, comme vous le constatez, on s'est servi d'un épi de blé et de deux feuilles de sa tige pour produire ce qu'on pourrait peut-être appeler un « blé de lys ».
Je me demande si cela plaît davantage aux boulangers membres du Conseil de Boulangerie du Québec (voir l'image ci-dessous) ou aux consommateurs de leur pain.
J'aurais tendance à penser que cela plaît davantage aux boulangers qui se définissent ainsi eux-mêmes et définissent leur produit comme québécois.
Le consommateur québécois, quant à lui, plutôt pleutre et irrémédiablement atteint du syndrome de Stockholm (il aime son bourreau et se rend même complice de ses crimes, génocides et autres massacres, dans le passé et dans le présent), a tendance à faire passer son intérêt national en dernier lieu.
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