C'est l'ancien hôtel de ville de Jonquière, la ville de mon enfance et de ma jeunesse, un magnifique bâtiment « Art déco », construit dans les années trente (ou quarante ?) du 20e siècle.
Longtemps je me suis demandé pourquoi j'aimais tant l' « Art déco ».
Pourquoi un petit provincial québécois comme moi aimait-il cet art de grande ville ?
L'origine en était des souvenirs d'enfance et de jeunesse !
Évidemment !
Comme tous les goûts qui sont ceux de chacun d'entre nous.
Et cet hôtel de ville, je l'ai beaucoup vu dans ma jeunesse pour passer souvent devant, voire pour y entrer par une petite porte de côté où, envoyé par ma mère, j'allais payer à l'époque (une fois par mois ?) les taxes et services municipaux : l'électricité, par exemple, que produisait elle-même la municipalité, grâce un un petit barrage sur la rivière aux Sables situé tout près de là.
Je suis donc parti samedi dernier d'Arvida, à moins de quinze minutes de là (en voiture), pour aller photographier cet hôtel de ville de mon enfance.
En voici d'autres photos (je vous en présente trois côtés, l'arrière me semblant peu intéressant et, en tous cas, chargé d'aucun souvenir) :
C'est la façade avant. L'escalier n'est pas celui que je connaissais qui était un escalier droit aboutissant directement et abruptement à la grande porte que vous voyez.
On l'a refait ces dernières années, et je dois avouer que le nouveau est plus beau que l'ancien car sa symétrie reprend celle du bâtiment entier.
C'est le côté gauche du bâtiment : il y a une petite porte au bout de la rampe de métal que vous y apercevez à gauche. C'est celle que l'on empruntait pour payer les redevances dont j'ai parlé.
Peut-être la verrez-vous mieux dans cette photo :
C'est la petite porte qui ne paie pas de mine, en bas, à gauche. On voit que la brique utilisée pour la façade du côté n'est pas la même que celle de la façade principale, elle est plus rouge, et que les motifs architecturaux y sont moins nombreux.
Et voici la façade du côté droit :
Cette façade a droit (évidemment) aux mêmes briques et aux mêmes motifs architecturaux que la façade principale car elle est faite pour être vue du boulevard sur lequel elle porte. En plus elle était la façade (et l'est encore, je crois) de la caserne des pompiers.
Je crois que cette photo présente l'hôtel de ville dans toute sa « gloire », tel que les architectes et ses commanditaires voulaient qu'on le voit, environné de voitures, de feux de circulation, de réverbères, que j'ai supprimés le plus possible dans les autres photos.
Longtemps je me suis demandé pourquoi j'aimais tant l' « Art déco ».
Pourquoi un petit provincial québécois comme moi aimait-il cet art de grande ville ?
L'origine en était des souvenirs d'enfance et de jeunesse !
Évidemment !
Comme tous les goûts qui sont ceux de chacun d'entre nous.
Et cet hôtel de ville, je l'ai beaucoup vu dans ma jeunesse pour passer souvent devant, voire pour y entrer par une petite porte de côté où, envoyé par ma mère, j'allais payer à l'époque (une fois par mois ?) les taxes et services municipaux : l'électricité, par exemple, que produisait elle-même la municipalité, grâce un un petit barrage sur la rivière aux Sables situé tout près de là.
Je suis donc parti samedi dernier d'Arvida, à moins de quinze minutes de là (en voiture), pour aller photographier cet hôtel de ville de mon enfance.
En voici d'autres photos (je vous en présente trois côtés, l'arrière me semblant peu intéressant et, en tous cas, chargé d'aucun souvenir) :
C'est la façade avant. L'escalier n'est pas celui que je connaissais qui était un escalier droit aboutissant directement et abruptement à la grande porte que vous voyez.
On l'a refait ces dernières années, et je dois avouer que le nouveau est plus beau que l'ancien car sa symétrie reprend celle du bâtiment entier.
C'est le côté gauche du bâtiment : il y a une petite porte au bout de la rampe de métal que vous y apercevez à gauche. C'est celle que l'on empruntait pour payer les redevances dont j'ai parlé.
Peut-être la verrez-vous mieux dans cette photo :
C'est la petite porte qui ne paie pas de mine, en bas, à gauche. On voit que la brique utilisée pour la façade du côté n'est pas la même que celle de la façade principale, elle est plus rouge, et que les motifs architecturaux y sont moins nombreux.
Et voici la façade du côté droit :
Cette façade a droit (évidemment) aux mêmes briques et aux mêmes motifs architecturaux que la façade principale car elle est faite pour être vue du boulevard sur lequel elle porte. En plus elle était la façade (et l'est encore, je crois) de la caserne des pompiers.
Je crois que cette photo présente l'hôtel de ville dans toute sa « gloire », tel que les architectes et ses commanditaires voulaient qu'on le voit, environné de voitures, de feux de circulation, de réverbères, que j'ai supprimés le plus possible dans les autres photos.
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