Ce n'est pas ainsi que mon père, mes grands-pères et, sans doute, mes ancêtres depuis leur père à tous immigré en Nouvelle-France vers le 14 juillet 1650 (Claude Bouchard, fils de Jacques Bouchard et de Noëlle Touschard) « cordaient leur bois », c'est-à-dire en faisaient des cordes de « 4 pieds de hauteur par 4 pieds de profondeur et 8 pieds de longueur ».
Car immémorialement, c'est au bois qu'on se chauffait en Nouvelle-France et au Québec, essentiellement l'hiver (qui empiète largement sur l'automne et sur le printemps, disons d'octobre à avril, dans les meilleures années).
Dans cette photo nous sommes devant la « corde », si tant est qu'on peut appeler cette œuvre ainsi, d'un artiste (disons « artisan » pour ne pas inutilement fâcher des héritiers de prêtres pointilleux quant à l'utilisation du mot « artiste »).
Voici une autre « corde » présentant le même motif de hibou ou de chouette, sans doute du même « artiste » :
Une corde de bois comme dans ma jeunesse (on en voit encore maintenant, même à Arvida où le bois sert de chauffage d'appoint), en voici une :
Car immémorialement, c'est au bois qu'on se chauffait en Nouvelle-France et au Québec, essentiellement l'hiver (qui empiète largement sur l'automne et sur le printemps, disons d'octobre à avril, dans les meilleures années).
Dans cette photo nous sommes devant la « corde », si tant est qu'on peut appeler cette œuvre ainsi, d'un artiste (disons « artisan » pour ne pas inutilement fâcher des héritiers de prêtres pointilleux quant à l'utilisation du mot « artiste »).
Voici une autre « corde » présentant le même motif de hibou ou de chouette, sans doute du même « artiste » :
Une corde de bois comme dans ma jeunesse (on en voit encore maintenant, même à Arvida où le bois sert de chauffage d'appoint), en voici une :
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