Une autre photo du trésor de photos d'Italie sur lequel j'ai eu la chance de tomber il y a quelque temps et que j'ai promis de vous présenter peu à peu.
Il s'agit de la Voie lactée (c'est un leitmotiv de ce blogue) au-dessus du phare du Cap d'Otrante, à la pointe du talon de la botte italienne qui marque la frontière entre la mer Adriatique et la mer Ionienne, pas très loin de Brindisi où est mort, à mon grand regret, Virgile au retour de son unique voyage en Grèce.
À 51 ans, comme Balzac et comme Proust.
Je n'ai pas vu ce beau phare et son beau ciel et ne le verrai sans doute pas tant il me reste peu d'années à vivre.
Peut-être de loin, à bord d'un paquebot des croisières auxquelles se réduiront bientôt mes voyages.
Reste la Voie lactée, le lait maternel d'Héra.
« Et non revertetur, fugit tempus »
Il s'agit de la Voie lactée (c'est un leitmotiv de ce blogue) au-dessus du phare du Cap d'Otrante, à la pointe du talon de la botte italienne qui marque la frontière entre la mer Adriatique et la mer Ionienne, pas très loin de Brindisi où est mort, à mon grand regret, Virgile au retour de son unique voyage en Grèce.
À 51 ans, comme Balzac et comme Proust.
Je n'ai pas vu ce beau phare et son beau ciel et ne le verrai sans doute pas tant il me reste peu d'années à vivre.
Peut-être de loin, à bord d'un paquebot des croisières auxquelles se réduiront bientôt mes voyages.
Reste la Voie lactée, le lait maternel d'Héra.
« Et non revertetur, fugit tempus »
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