C'est l'automne à Arvida et j'ai les preuves.
La première, cet étonnant érable tout entier rougi que j'ai photographié dans ma rue, à deux pas de chez moi, après-midi, en faisant une balade avec ma femme.
En face de celui-ci, de l'autre côté de la rue, une autre preuve, cet érable déjà attaqué :
(Remarquez le réverbère que je n'ai pas manqué d'inclure dans la photo).
Il y avait aussi ce jeune arbre doré (disons jauni et un peu cuivré), dont je ne sais pas le nom, à l'angle Saint-Denis-de Calais :
(Remarquez les branches nues de l'orme mort qui, comme un démon, tente de saisir le petit arbre, comme pour l'assassiner).
Enfin, ces bosquets et ces faux-sorbiers du parc Saint-Jacques, indéniablement contaminés :
(Les faux-sorbiers sont comme prosternés au pied du réverbère, toujours vert quant à lui, et qui le restera, quelle que soit la saison).
C'est l'automne, vous dis-je, c'est l'automne !
La première, cet étonnant érable tout entier rougi que j'ai photographié dans ma rue, à deux pas de chez moi, après-midi, en faisant une balade avec ma femme.
En face de celui-ci, de l'autre côté de la rue, une autre preuve, cet érable déjà attaqué :
(Remarquez le réverbère que je n'ai pas manqué d'inclure dans la photo).
Il y avait aussi ce jeune arbre doré (disons jauni et un peu cuivré), dont je ne sais pas le nom, à l'angle Saint-Denis-de Calais :
(Remarquez les branches nues de l'orme mort qui, comme un démon, tente de saisir le petit arbre, comme pour l'assassiner).
Enfin, ces bosquets et ces faux-sorbiers du parc Saint-Jacques, indéniablement contaminés :
(Les faux-sorbiers sont comme prosternés au pied du réverbère, toujours vert quant à lui, et qui le restera, quelle que soit la saison).
C'est l'automne, vous dis-je, c'est l'automne !
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