Ce bâtiment en forme de livres m'est tombé sous les yeux tout à l'heure dans les pages Facebook de design-d'autore (ici) où on le décrit en « globish » comme un « Bookstore » à Aix-en-Provence.
Une « librairie » ai-je traduit !
En réalité, après recherche, j'ai trouvé que ce bâtiment faisait partie d'une « Cité du Livre » qui s'est constituée vers 1989 dans une ancienne usine d'allumettes où a déménagé la célèbre « Bibliothèque Méjanes » qui était au centre-ville à l'époque où j'habitais Aix.
Ces livres architecturaux constituaient même l'entrée de la « Bibliothèque Méjanes ».
Il ne faut jamais faire tout à fait confiance aux pages Facebook, surtout quand elles parlent « globish ».
« Rue des Allumettes » ?
Je ne l'avais jamais parcourue à l'époque, ni après
lors de mes deux séjours ultérieurs.
Il fallait, ai-je constaté en consultant « Google Maps » parcourir longuement l'Avenue des Belges et obliquer à un moment donné pour retrouver l'usine, ce dont nous n'avions jamais eu l'idée.
Nous allions bien à la Poste, qui se trouvait dans cette avenue, ou « Aux Quatre Dauphins » où il y avait un supermarché, voire, quelquefois, chez des amis qui habitaient dans un HLM pas très loin, pour faire une partie de bridge, mais jamais plus loin.
J'étais curieux de savoir quel était le titre du 3e livre que l'on voit dans la photo (vous lisez le titre du premier), le deuxième est « Le Malade imaginaire » de Molière !
Le troisième, je l'ai su en ayant recours à une recherche « Google images » : c'est « L'Étranger ».
Et ce titre me donne l'occasion de le dire : nous nous sommes sentis vraiment étrangers à Aix-en-Provence et en France pendant notre séjour.
Même langue (à peu près) mais culture tellement différente !
Nous sommes bien des Nord-Américains.
De langue française mais irrémédiablement nord-américains.
Mais, ainsi, à cause de la langue, étrangers aussi à l'Amérique telle que l'histoire l'a, hélas, constituée : étrangers à l'Amérique génocidaire et anglo-saxonne.
Mais fiers d'être ainsi.
Innocents de tous les crimes !
Victimes triomphantes !
Peut-être, éventuellement, justicières !
Voici la photo qui m'a révélé « L'Étranger » :
Une « librairie » ai-je traduit !
En réalité, après recherche, j'ai trouvé que ce bâtiment faisait partie d'une « Cité du Livre » qui s'est constituée vers 1989 dans une ancienne usine d'allumettes où a déménagé la célèbre « Bibliothèque Méjanes » qui était au centre-ville à l'époque où j'habitais Aix.
Ces livres architecturaux constituaient même l'entrée de la « Bibliothèque Méjanes ».
Il ne faut jamais faire tout à fait confiance aux pages Facebook, surtout quand elles parlent « globish ».
« Rue des Allumettes » ?
Je ne l'avais jamais parcourue à l'époque, ni après
lors de mes deux séjours ultérieurs.
Il fallait, ai-je constaté en consultant « Google Maps » parcourir longuement l'Avenue des Belges et obliquer à un moment donné pour retrouver l'usine, ce dont nous n'avions jamais eu l'idée.
Nous allions bien à la Poste, qui se trouvait dans cette avenue, ou « Aux Quatre Dauphins » où il y avait un supermarché, voire, quelquefois, chez des amis qui habitaient dans un HLM pas très loin, pour faire une partie de bridge, mais jamais plus loin.
J'étais curieux de savoir quel était le titre du 3e livre que l'on voit dans la photo (vous lisez le titre du premier), le deuxième est « Le Malade imaginaire » de Molière !
Le troisième, je l'ai su en ayant recours à une recherche « Google images » : c'est « L'Étranger ».
Et ce titre me donne l'occasion de le dire : nous nous sommes sentis vraiment étrangers à Aix-en-Provence et en France pendant notre séjour.
Même langue (à peu près) mais culture tellement différente !
Nous sommes bien des Nord-Américains.
De langue française mais irrémédiablement nord-américains.
Mais, ainsi, à cause de la langue, étrangers aussi à l'Amérique telle que l'histoire l'a, hélas, constituée : étrangers à l'Amérique génocidaire et anglo-saxonne.
Mais fiers d'être ainsi.
Innocents de tous les crimes !
Victimes triomphantes !
Peut-être, éventuellement, justicières !
Voici la photo qui m'a révélé « L'Étranger » :
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