L'illustrateur de la page couverture du « New Yorker » (ou le rédacteur) a pensé qu'il serait approprié de remplacer les lions « tropicaux » qui trônent devant la Bibliothèque municipale de New York par des ours polaires, étant donné le froid, également polaire et inouï, qui règne en ce moment sur une grande partie des États-Unis.
Excellent suggestion, à mon avis, puisque la situation risque non seulement de durer mais de se répéter.
Et de se répéter non seulement cette année mais, dorénavant, chaque année, sait-on jusqu'à quand.
Car ce froid polaire est sans doute une des conséquences du changement climatique, toujours nié par la majorité des voisins du sud du Québec qui croient, depuis des lunes, les inepties des Républicains, voire des Démocrates de droite.
Et comme ils sont les plus grands responsables de ces changements climatiques (une des suites de leur industrialisation forcenée et irrationnelle), ce froid me semble comme une justice immanente à leur égard.
Hurlez, ours polaires, car vous régnez sur ces terres qui sont désormais les vôtres !
Excellent suggestion, à mon avis, puisque la situation risque non seulement de durer mais de se répéter.
Et de se répéter non seulement cette année mais, dorénavant, chaque année, sait-on jusqu'à quand.
Car ce froid polaire est sans doute une des conséquences du changement climatique, toujours nié par la majorité des voisins du sud du Québec qui croient, depuis des lunes, les inepties des Républicains, voire des Démocrates de droite.
Et comme ils sont les plus grands responsables de ces changements climatiques (une des suites de leur industrialisation forcenée et irrationnelle), ce froid me semble comme une justice immanente à leur égard.
Hurlez, ours polaires, car vous régnez sur ces terres qui sont désormais les vôtres !
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