Il s'agit d'un petit détournement de la bande de Schulz ! Et voici, joué par Wilhelm Kempff, ce que joue peut-être Schrœder à Snoopy (Impromptu op. 90 (D 899) no 3) :
Ces photos de vous dans un état que vous ne considérez pas comme intéressant (après coup) démontrent que vos amis Facebook ne sont pas de vrais amis (ou est-ce le contraire ?)
Cet argent qui bâillonne, ce n'est pas seulement celui de la charité qui bâillonne les pauvres, itinérants, SDF ou sans logis, c'est aussi l'argent qui bâillonne ceux qui ont fraudé, légalement ou non, nous tous ! Et l'argent du salaire des employés témoins des turpitudes de leur employeur et qui ne peuvent pas parler ... encore. Et de ceux qui ne parleront jamais parce qu'ils devront s'accuser en accusant leur employeur qui a subtilement su les rendre complices de ses turpitudes.
Policiers, même aux plus hauts niveaux, dont on espérait l'honnêteté la plus intransigeante étant donné leurs tâches ; administrateurs d'institutions vouées à l'éducation ou à la santé, hommes politiques, hauts fonctionnaires : tous sont entraînés à grande vitesse dans l'ouragan de cupidité et de fraudes qui emporte toute la société autour de nous. Et qu'on ne me disent pas que c'est le capitalisme : voyez les anciens hauts fonctionnaires soviétiques (du temps de la dictature socialiste et maintenant) ou les hauts responsables chinois, le même ouragan les emporte (et aussi les simples fonctionnaires et les simples responsables, toutes les hiérarchies). Voyez ce qui se passe chez les « héros » étasuniens :
Certains tentent même de faire passer leurs fraudes (et aussi à leurs propres yeux) pour quelque chose de légal, et le bénéfice de celles-ci comme quelque chose qui leur est légitimement dû. Certains se réclament même des hauts exemples de cupidité et de fraudes pour légitimer les leurs. Tout est pourri de haut en bas ! Et, sans doute, moi-même aussi !
Oui, c'est ainsi, quand l'esprit jubile, le corps a plus de problème à jubiler. Les filles ne cherchent guère les esprits jubilants (à quelques exceptions près, dont ma femme, heureusement pour moi !)
C'est une affiche représentant Edward Snowden, que deux parlementaires norvégiens viennent de proposer pour le prix Nobel de la paix. Vous remarquez que l'affiche reproduit le style des affiches de Barak Obama lors de sa première élection, au moment où l'on voulait faire croire qu'il était un homme politique qui allait changer les choses pour le mieux et non le petit politicien qu'il s'est révélé être par la suite. « Changer les choses » : effectivement il l'a fait mais pour le pire (meurtres et exécutions par drones, maintien de Guantanamo et, surtout, espionnage universel de la NSA et autres agences étasuniennes). On lui avait attribué le prix Nobel de la paix au lendemain de son élection, alors qu'il n'avait encore rien fait. Il a continué de ne rien faire ... de bien, au contraire : le prix lui avait été attribué par des Norvégiens enamourés (c'est le moins qu'on puisse dire). L'amour est aveugle, on l'a déjà dit ! Pour les USA, la Norvège (et l'Europe) ont les yeux de Chimène. La Norvège est d'ailleurs complice de ceux-ci (comme le Canada, le Royaume Uni et autres dominions anglo-saxons) dans l'espionnage universel (ce sont les membres du réseau Echelon) Mais c'est Edward Snowden qui a changé véritablement les choses en révélant ce qui était caché, les véritables USA et le véritable Obama. Mais les académiciens norvégiens ne songent qu'à s'aplatir devant la puissance impériale. Peut-être la suggestion de ces deux parlementaires norvégiens, si elle est suivie d'effets, permettra-t-elle de corriger l'erreur du prix décerné naguère à Obama. Car c'est Snowden qui est le véritable grand homme. Pas Obama !
J'avoue ne plus me souvenir de la page où j'ai emprunté ces photos (design-d'autore* ?) Sans doute est-ce dû à la fièvre qui me laisse maintenant quelques minutes de répit pour que je vous les présente. Le titre de l'ensemble est « Un miracle qui se répète » (il est en italien à l'origine) : il s'agit de quatre photos d'une île prise chacune dans une saison différente : l'hiver en haut, puis le printemps, l'été et enfin l'automne. Ce sont les saisons telles qu'elles se présentent en Italie (sans doute du nord). Peut-être l'été et le printemps ont-ils quelques beautés. Mais l'hiver pas du tout. Pas beaucoup l'automne. Pour s'en tenir à l'hiver (la maladie ne me laisse pas le temps de m'occuper de l'automne), voyez cette photo de l'hiver au Québec, prise dans la « Vallée des fantômes » dans le Parc national des Monts Valin, près de chez moi :
Crédit photo : Justine Lévesque
Si cette beauté s'accompagnait toujours de temps doux, quelle saison magique cet hiver serait ! En tous cas plus belle que l'hiver italien (peut-être l'hiver italien est-il aussi beau dans les Alpes).
* Je l'ai retrouvée: c'est culturadesso.it (une page Facebook). La photo s'intitule en italien : « il miracolo che si repete ! »
Je parie que vous pensez à une nation en particulier, que l'on pourrait décrire ainsi ... Ne vous donnez pas cette peine. Une fois le vertige de la liberté et de l'enthousiasme passé, toutes les nations peuvent être décrites ainsi. Nulle nation n'est vertueuse, toutes sont corrompues. Si elles paraissent vertueuses, c'est du théâtre ! Peut-être pourrait-on penser maintenant aux citoyens de ces nations ?
C'était à un défilé haute couture récent, à Paris, plus précisément le défilé « Schiaparelli Haute Couture printemps-été 2014 ». Je ne sais pas si les spectateurs ont réagi comme le photographe quand ce mannequin a défilé, en se laissant hypnotiser par cette chevelure de feu, mais je crois que la robe que celle-ci portait a été complètement éclipsée. Peut-être valait-il mieux qu'elle le soit, je ne sais pas, mais en tous cas, la chevelure, elle , n'est certes pas passée inaperçue, elle brillait autant que le soleil !
Il semble que, selon les auteurs de cette mosaïque, Ronald ait trouvé le moyen de survivre à la consommation de la malbouffe dont il est le symbole. La meilleure solution pour vous serait de ne pas la consommer mais si, par malheur, vous devez le faire, vous savez maintenant comment survivre. Suivez Ronald, à l'extérieur du boui-boui !
Allez-vous le nier ? Même le professeur était heureux de votre bonheur ! Ah ! si professeur et élèves s'entendaient toujours ainsi pour être heureux, comme l'école serait un merveilleux moment de la vie !
Le climat dont les personnages parlent, c'est le climat de l'été ! S'ils connaissaient celui de l'hiver que nous avons, ils seraient eux-mêmes plus « affolés ». Peut-être en colère !
Avec cette tétine (« suce » au Québec), cette jolie « bébée » (permettez-moi le néologisme) a déjà des lèvres bien pulpeuses ! Si on ajoute à cela la couleur des yeux ... Et la bande rouge qui lui met le front en valeur ...
Je n'avais jamais vraiment remarqué que la chevelure de ces statuettes appartenant à une fontaine Wallace à Paris se terminait en volutes de chapiteau ionien : mi-femmes, mi-colonnes, ces statuettes ! Elles sont tirées d'une photo, comme toujours excellente, de David Duchens (ce lien conduit au site du photographe) que je vous présente :
La réflexion de William James, j'en ai souvent éprouvé l'exactitude, même en moi-même ! Je crois que la plupart de nos pensées sont en réalité des préjugés. Reste une petite partie de nos pensées qui sont des pensées véritables, mais seulement chez les gens les plus intelligents.
Avis : aucune musique n'est programmée. Réduisez le volume de votre appareil pour ne pas entendre une musique non programmée.
Je suis un professeur de littérature à la retraite qui désire faire part de ce qu'il aime ou n'aime pas en essayant, mais sans trop d'espoir, d'imiter Michel de Montaigne en plus bref.
« Je donne mon avis non comme bon mais comme mien. » Michel de Montaigne
Jack à Isola Bella, Lago Maggiore, Italia, sans ses Tifosi mais avec des lunettes de mafioso. Quel coup peut-il bien préparer ou parer en jetant ce regard oblique?
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Il est probable qu'il n'y a pas de Dieu. S'il existe, faites l'hypothèse que c'est un être bon, qu'il vous aime et ne vous fera pas de mal. S'il existe ce n'est pas le Dieu des religions. Ne prêtez foi à aucune religion car elles ont été fondées par des bonimenteurs et toutes sont aux mains de profiteurs. Si Dieu existe, c'est un sacrilège et un crime que de lui attribuer des paroles, pensées, volontés, commandements et désirs humains comme le font les religions soi-disant «révélées» et même les autres. Dieu, s'il existe, n'est pas une marionnette que certains hommes pourraient manipuler et faire parler à leur guise. Ne vous inquiétez plus, rendez les autres heureux s'ils vous le permettent et vivez le mieux possible votre vie car c'est probablement la seule que vous aurez. «Il est certaine façon d'adorer Dieu qui me fait l'effet d'un blasphème. Il est certaine façon de nier Dieu qui rejoint l'adoration.» André Gide
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Poémier
Ci-dessous un module de création aléatoire de poèmes de trois vers intitulé Poémier. Paul Valéry écrivait que «[l]es belles œuvres sont filles de leur forme, -qui naît avant elles». Ce module et le suivant (Poémier Deux) sont des mises en œuvre de cet aphorisme. Les poèmes créés dans le module ci-dessous épousent un peu la forme du haïku, poème japonais de 17 syllabes inventé au 17e siècle. Ce module de création a été programmé par Denise Pelletier (surtout) et par moi-même. Si vous cliquez le bouton intitulé «Créer un tercet» un poème de 3 lignes et de 17 syllabes apparaîtra dans l'espace blanc situé au-dessus du bouton. Vous pouvez créer autant de poèmes que vous le désirez. Pour les conserver, sélectionnez-les, copiez-les et collez-les dans votre traitement de texte ou votre calepin. Le hasard, vous et moi en sommes les auteurs. Certains sont à conserver, d'autres (la plupart mais c'est ainsi le hasard) à effacer impitoyablement. Ce programme en est à sa première version. Puis-je vous demander de me signaler tout éventuel dysfonctionnement? Vous pouvez m'adresser un courriel en cliquant ici.
Poémier Deux
Ci-dessous un autre module de création aléatoire de poèmes intitulé Poémier Deux. Les poèmes créés dans ce module ont un nombre variable de vers plutôt que trois comme dans Poémier. Ce module de création a été programmé par Denise Pelletier. Si vous cliquez le bouton intitulé «Créer un poème» un poème comportant un nombre variable de lignes apparaîtra dans l'espace blanc situé au-dessus du bouton. Chaque ligne est un vers libre, c'est-à-dire qu'elle comporte un nombre variable de syllabes. Vous pouvez créer autant de poèmes que vous le désirez. Pour les conserver, faites comme dans Poémier. Si vous constatez un quelconque dysfonctionnement suivez les instructions données dans Poémier (m'adresser un courriel en cliquant ici).
Jeu
Un petit jeu pour se divertir: pour gagner il faut obtenir trois chiffres identiques. Cliquer sur le bouton intitulé«Tirer les numéros» pour jouer.
Calendrier continental (et québécois) ou calendrier mécréant, raison pour laquelle il me plaît:
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Visiteurs
Le 300 000ième visiteur s'est présenté sur ce site le 5 avril 2012 à 17h09, heure du Québec.
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Le 333 333e visiteur s'est présenté sur ce site le 31 mai 2012 vers 15h.
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Le 444 444e visiteur s'est présenté sur ce site au cours de l'après-midi du 13 décembre 2012.
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Le 555 555e visiteur s'est présenté sur ce site au cours de la nuit du 7 août 2013.
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Le 666 666e visiteur s'est présenté sur ce site le 26 mars 2014 à 10h28.
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Le 777 777e visiteur s'est présenté sur ce site le 1er novembre 2014 entre midi et midi trente.
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Le 888 888e visiteur s'est présenté sur ce site le 20 octobre 2015 entre minuit et 6h.
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Le 999 999e visiteur s'est présenté sur ce site le 1er décembre 2016 entre midi et 16h.
Et le millionième visiteur une seconde plus tard.
En commençant ce blogue, en décembre 2007, c'est l'objectif que je m'étais fixé, 1 000 000 de visiteurs.
Je suis maintenant libre !
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