Le type de volets que vous voyez dans la photo a cours surtout en Italie.
Je l'avais surnommé « volet voyeur * » car il permet de garder une pièce à l'abri des insupportables rayons du soleil (oui, insupportables, une chose difficilement imaginable pour un Québécois) mais, en même temps, de surveiller ce qui se passe dans la rue.
Ou chez le voisin (bien difficile car les habitants du sud de la France me semblent souffrir de beaucoup de paranoia : mais quand on sait ce qu'ils ont vécu depuis tant de siècles et qu'on s'avise de l'exiguïté de leur habitat ...).
De toute façon, on ne le rencontre pas surtout en France, c'est un type de volet italien, me semble-t-il.
En France, on l'observe surtout dans les régions voisines de l'Italie ou dans les régions qui ont fait partie de l'Italie (d'une des parties indépendantes de l'Italie, on s'entend) : dans la région de Nice et à Nice, par exemple, qui n'ont été annexés à la France que vers 1860.
Ou en Corse, annexée au 18e siècle (1769), peu de temps après la conquête de la Nouvelle-France.
Je n'en ai pas bénéficié à Aix-en-Provence, moi qui suis si curieux de la vie de la rue.
Si j'avais su, je serais allé plutôt séjourner à Nice.
Mais à l'époque, administrativement, ce qu'on appelait le département des Alpes-Maritimes (et le Var) étaient plus difficiles d'accès pour les étrangers comme moi, surtout étudiants (on était au lendemain des événements de mai 68).
Ou réservés aux riches.
Comme maintenant peut-être.
La photo a été empruntée (en partie) à Vélo Québec comme vous en doutiez peut-être en voyant les vélos surchargés dans la photo, sous les volets et le joli réverbère.
* Leur nom véritable -une gentille visiteuse et amie me l'apprend dans un commentaire- c'est « jalousies », ce qui confirme un peu la perception que j'en avais.
Je l'avais surnommé « volet voyeur * » car il permet de garder une pièce à l'abri des insupportables rayons du soleil (oui, insupportables, une chose difficilement imaginable pour un Québécois) mais, en même temps, de surveiller ce qui se passe dans la rue.
Ou chez le voisin (bien difficile car les habitants du sud de la France me semblent souffrir de beaucoup de paranoia : mais quand on sait ce qu'ils ont vécu depuis tant de siècles et qu'on s'avise de l'exiguïté de leur habitat ...).
De toute façon, on ne le rencontre pas surtout en France, c'est un type de volet italien, me semble-t-il.
En France, on l'observe surtout dans les régions voisines de l'Italie ou dans les régions qui ont fait partie de l'Italie (d'une des parties indépendantes de l'Italie, on s'entend) : dans la région de Nice et à Nice, par exemple, qui n'ont été annexés à la France que vers 1860.
Ou en Corse, annexée au 18e siècle (1769), peu de temps après la conquête de la Nouvelle-France.
Je n'en ai pas bénéficié à Aix-en-Provence, moi qui suis si curieux de la vie de la rue.
Si j'avais su, je serais allé plutôt séjourner à Nice.
Mais à l'époque, administrativement, ce qu'on appelait le département des Alpes-Maritimes (et le Var) étaient plus difficiles d'accès pour les étrangers comme moi, surtout étudiants (on était au lendemain des événements de mai 68).
Ou réservés aux riches.
Comme maintenant peut-être.
La photo a été empruntée (en partie) à Vélo Québec comme vous en doutiez peut-être en voyant les vélos surchargés dans la photo, sous les volets et le joli réverbère.
* Leur nom véritable -une gentille visiteuse et amie me l'apprend dans un commentaire- c'est « jalousies », ce qui confirme un peu la perception que j'en avais.
2 commentaires:
Ma grand mère les appelait peut être à tort des jalousies...
Mais je vous remercie beaucoup. Étant donné tout ce que j'en dis, c'est le nom véritable, que je ne connaissais pas. Si l'on s'en sert pour observer ce qui se passe dans la rue et chez le voisin c'est qu'on les envie ou qu'on a des doutes au sujet de la fidélité de quelqu'un : jalousies ! Encore merci.
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