C'est une vue (lithographique ?) de la ville de Québec dans le premier quart du 19e siècle.
Je l'ai intitulée « La Citadelle et la ville ».
Car les bâtiments et les constructions de la Citadelle, que l'on aperçoit à gauche, dominent davantage la ville que le fleuve.
Ce qui est significatif.
L'on peut constater de visu qu'en effet les citadelles ont très souvent été construites pour dominer le peuple et contenir d'éventuelles révoltes de celui-ci plutôt que pour le défendre et défendre la ville contre les ennemis qui pouvaient arriver par le fleuve.
Cela se comprend d'autant plus à Québec que la ville et le pays dont elle était la capitale vivaient encore sous le joug de l'armée d'occupation britannique cinquante ou soixante ans après la Conquête de 1760.
Le peuple qui y vivait, -de langue française encore, la langue de l'ennemi héréditaire-, pouvait toujours être considéré comme l'ennemi par l'armée d'occupation, -de langue anglaise quant à elle-, et comme plus dangereux que l'ennemi provenant de l'extérieur.
On le sent dans cette vue où la ville est comme écrasée par la citadelle.
Je l'ai intitulée « La Citadelle et la ville ».
Car les bâtiments et les constructions de la Citadelle, que l'on aperçoit à gauche, dominent davantage la ville que le fleuve.
Ce qui est significatif.
L'on peut constater de visu qu'en effet les citadelles ont très souvent été construites pour dominer le peuple et contenir d'éventuelles révoltes de celui-ci plutôt que pour le défendre et défendre la ville contre les ennemis qui pouvaient arriver par le fleuve.
Cela se comprend d'autant plus à Québec que la ville et le pays dont elle était la capitale vivaient encore sous le joug de l'armée d'occupation britannique cinquante ou soixante ans après la Conquête de 1760.
Le peuple qui y vivait, -de langue française encore, la langue de l'ennemi héréditaire-, pouvait toujours être considéré comme l'ennemi par l'armée d'occupation, -de langue anglaise quant à elle-, et comme plus dangereux que l'ennemi provenant de l'extérieur.
On le sent dans cette vue où la ville est comme écrasée par la citadelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire