C'est « Poussière de soleil » de Jean-Paul Riopelle.
On sent dans ce tableau un violent désir d'explosion, de destruction, sentiment que ressentent souvent les membres des peuples asservis.
Un Québécois pouvait ressentir -même inconsciemment- ce désir violent au temps où son peuple était immobilisé dans les doubles liens de la religion et de sa complice dictature politique.
On peut le ressentir encore si on est Québécois mais aussi (encore davantage) si on est autochtone dans ce pays de génocides et d'apartheid (autre nom du « multiculturalisme ») secrets et hypocrites qu'est le Canada.
Que les chaînes, les liens et les bâillons explosent enfin !
Au risque de la mort de tous !
(Ce tableau est au Musée national des beaux-arts à Québec).
On sent dans ce tableau un violent désir d'explosion, de destruction, sentiment que ressentent souvent les membres des peuples asservis.
Un Québécois pouvait ressentir -même inconsciemment- ce désir violent au temps où son peuple était immobilisé dans les doubles liens de la religion et de sa complice dictature politique.
On peut le ressentir encore si on est Québécois mais aussi (encore davantage) si on est autochtone dans ce pays de génocides et d'apartheid (autre nom du « multiculturalisme ») secrets et hypocrites qu'est le Canada.
Que les chaînes, les liens et les bâillons explosent enfin !
Au risque de la mort de tous !
(Ce tableau est au Musée national des beaux-arts à Québec).
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