C'est la suite du billet précédent.
Pendant que les photographes (du Louvre ou d'ailleurs) ont l'attention fixée sur la boîte qui contient l'Apoxyomène de Croatie, moi je regarde les merveilleuses cariatides (1550) de Jean Goujon.
En voici une de plus près qui me permet de toutes vous les faire voir en une seule, avec les plis de son vêtement et la pointe de ses seins :
Pendant que les photographes (du Louvre ou d'ailleurs) ont l'attention fixée sur la boîte qui contient l'Apoxyomène de Croatie, moi je regarde les merveilleuses cariatides (1550) de Jean Goujon.
En voici une de plus près qui me permet de toutes vous les faire voir en une seule, avec les plis de son vêtement et la pointe de ses seins :
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