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Elle est de Tchekhov.
Je l'ai trouvée d'abord piquante, comme une autre maxime à l'encontre de la vie conjugale.
Mais j'avoue ne pas la comprendre: il faut que Tchekhov ou ceux qui trouvent vraie sa remarque aient fait de bien mauvais mariages pour y ressentir la solitude.
Peut-être un mariage au 19e siècle, ou en Russie.
Ou je ne sais.
En tous cas ces mariages n'en étaient pas.
Mais je vous présente la citation dans un environnement bien français : dans cette république en principe laïque on y spécifie que la fête (religieuse) du jour est celle de «Ste Marie-Madeleine».
Cela me rappelle qu'on y fête : le Lundi de Pâques ; l'Ascension ; le Lundi de Pentecôte ; l'Assomption ; La Toussaint ; Noël, que sais-je encore ?
Pâques et Noël sont aussi des jours fériés au Québec mais quel Québécois sait ce qu'est la Pentecôte, la Toussaint, l'Assomption, l'Ascension, et, à plus forte raison, « Ste Marie-Madeleine » ?
La République (quelle république ? la française évidemment, quelle autre ?) est encore la «fille aînée de l'Église» (malgré la Révolution) et la mariage, puisque malheureux comme celui de Tchekhov, y est vraiment un mariage chrétien !
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