dimanche 9 novembre 2014

Guerres et massacres

Non, ce n'est pas la toile non figurative d'un peintre qui se serait spécialisé dans les dorés comme Pierre Soulages s'est spécialisé dans les noirs.
C'est une photo de la pollution à Shanghai !
Si intense qu'elle est responsable pour un tiers de la pollution de San Francisco, de l'autre côté de l'océan Pacifique.
Cela ne m'étonnerait pas que, comme les cyberattaques, cette pollution soit délibérée : une autre forme de la guerre totale (mais larvée) que la Chine livre aux États-Unis.
Quant à la pollution de Pékin, équivalente, pour les gens qui la subissent, à la consommation de 21 cigarettes par jour, elle n'est, pour sa part, que la forme actuelle de la persécution que dirigeants et empereurs de la Chine (pas toujours chinois) ont toujours exercée sur leur propre peuple, quand elle ne prend pas la forme de massacres de masses (oui, « masses » au pluriel) !
La photo de la pollution de Shanghai pourrait permettre de conclure que mal et beauté ne s'excluent pas, bien au contraire.
Baudelaire l'avait déjà souligné, magnifiquement, quoique condamné par les cons de son époque qui ont condamné et charcuté « Les Fleurs du mal » !

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