jeudi 16 janvier 2014

Des erreurs corrigées tardivement ou jamais

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/01/16/coquille-le-new-york-times-comportait-une-erreur-a-la-une-elle-y-est-restee-un-siecle/
L'employé chargé de placer le nombre de numéros parus du journal depuis sa fondation, plutôt que d'écrire 14 500 à la une écrivit 15 000.
Le nombre de numéros comportait une erreur de 500.
Le journal a réparé l'erreur seulement 100 ans plus tard.
Que d'erreurs sont ainsi réparées trop tard, voire jamais.
Combien de temps Galilée a-t-il attendu (et nous de même) que l'Église catholique corrige son erreur à son égard ?
Plus de 400 ans.
Et Giordano Bruno attend toujours son tour (qui ne viendra jamais, évidemment) !
Combien d'horribles damnés, dictateurs, rois ou papes ou serviteurs zélés des unes ou des autres, ont été erronément canonisés et sont encore invoqués par de pauvres fidèles trompés alors qu'ils brûlent en réalité dans le fond du royaume de Satan (s'il existe, mais plus vraisemblablement ces saints erronés reposent dans le néant) ?
Je pense à Constantin, mort hérétique arien (canonisé seulement par les orthodoxes cependant : ces Islamistes du christianisme avec les Évangélistes), à Grégoire de Nazianze, Grégoire de Nysse, Jean Chrysostome, etc., beaux parleurs vides !
À tous les saints et à toutes les saintes !
L'article du blogue du Monde est ici.

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