lundi 14 octobre 2013

Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare !

Citation (empruntée ici) du blogue « Les 400 Culs » où la réflexion est toujours profonde malgré son titre. 
Ici on réfléchit avec quelques penseurs grecs sur la taille des testicules (humains) :

Dans la Grèce ancienne, certains penseurs déduisaient de cette inégale balance génitale un système de hiérarchie plus global. Aristote rapporte qu’Anaxagoras (sic) pensait que la masculinité dépendait de l’origine du sperme. Le sperme venant du testicule droit (plus gros, plus haut) était un considéré comme un "sperme mâle". Le sperme venant du testicule gauche, comme un "sperme femelle". Par ailleurs, si le testicule droit du foetus était le premier à se développer, le fœtus devenait mâle. Si le testicule gauche se développait le premier, le fœtus devenait femelle… Ces fœtus, une fois différenciés, ne pouvaient eux-mêmes pas se développer dans les mêmes parties du corps humain: les fœtus femelles restaient confinés dans la partie gauche de l’utérus, par opposition aux fœtus mâles qui logeaient à droite. »  ( Source : Johan Mattelaer ).  
Tout en reconnaissant l’ambiguïté génitale des fœtus aux premiers stades de son développement, Anaxagoras (sic) y posait une limite  : on ne doit pas confondre la droite de la gauche. A chacun sa place.

Pour Aristote, tout cela n’était que fariboles. Il pensait que le déséquilibre entre testicule droit et gauche n’était qu’un ingénieux système de balance permettant aux organes de jouer à la balançoire et favorisant la circulation du sperme dans les conduits. Les testicules n’étaient à ses yeux que ce que les inventeurs de l’horloge mettraient plus tard au point sous la forme des contre-poids. Lorsque les testicules d’un homme sont très inégalement positionnés, on pense effectivement, en le voyant bouger, au mouvement d’un pendule. Aux poids qui permettent de mesurer toutes sortes de choses. Aux aiguilles d’une montre. Au tic-tac d’un rythme cosmique, marqué par le battement de deux masses qui rebondissent régulièrement l’une contre l’autre… Il y a quelque chose de fascinant dans ce spectacle, et pourtant rares sont les personnes qui s’attardent devant. 


Ce qu'il faut de sanglots pour un air de guitare !

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