C'est « Le Portement de la croix », attribué à Jérôme Bosch.
Je ne puis y résister, je crois voir, dans tous ces horribles visages qui entourent Jésus souffrant, la représentation des âmes de tous ces prélats et fidèles qui se réclament de lui depuis plus de 2 000 ans : tous des maquignons qui supputent les bénéfices que leur rapportera la crucifixion.
Même Véronique, en bas, à gauche, semble, d'avance, contente de ce que lui rapportera son voile.
Ce sont les membres des futures églises prétendues chrétiennes que l'auteur du tableau a représentés : imaginez si, plutôt qu'au début du 16e siècle, au moment où Borgia et Médicis étaient vautrés sur le trône de saint Pierre, il avait peint son tableau aujourd'hui ...
Je ne puis y résister, je crois voir, dans tous ces horribles visages qui entourent Jésus souffrant, la représentation des âmes de tous ces prélats et fidèles qui se réclament de lui depuis plus de 2 000 ans : tous des maquignons qui supputent les bénéfices que leur rapportera la crucifixion.
Même Véronique, en bas, à gauche, semble, d'avance, contente de ce que lui rapportera son voile.
Ce sont les membres des futures églises prétendues chrétiennes que l'auteur du tableau a représentés : imaginez si, plutôt qu'au début du 16e siècle, au moment où Borgia et Médicis étaient vautrés sur le trône de saint Pierre, il avait peint son tableau aujourd'hui ...
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