Passage tiré de « Deux hommes de bien », d'Arturo Pérez-Reverte, traduit du castillan et publié au Seuil, cette année.
Le devoir de ceux qui manient la plume, notre devoir philosophique, est de démontrer qu'il n'y a pas le moindre espoir.
Sur la quatrième de couverture :
« A la fin du XVIIIe siècle, deux Espagnols sont chargés de trouver l'intégralité de l'Encyclopédie pour leurs collègues de l'Académie. Commence alors un pénible voyage de Madrid à Paris, perturbé notamment par un espion chargé de faire échouer leur mission. Arrivés dans la capitale française, le bibliothécaire et l'amiral découvrent malgré tout les salons, les cafés, la liberté. »
Le devoir de ceux qui manient la plume, notre devoir philosophique, est de démontrer qu'il n'y a pas le moindre espoir.
Sur la quatrième de couverture :
« A la fin du XVIIIe siècle, deux Espagnols sont chargés de trouver l'intégralité de l'Encyclopédie pour leurs collègues de l'Académie. Commence alors un pénible voyage de Madrid à Paris, perturbé notamment par un espion chargé de faire échouer leur mission. Arrivés dans la capitale française, le bibliothécaire et l'amiral découvrent malgré tout les salons, les cafés, la liberté. »
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