J’ai vu, hier, « L’Arrivée » de Denis Villeneuve : une peu comme dans « À
la recherche du temps perdu » (ou, peut-être, comme dans toute œuvre
vraiment grande) la fin est dans le commencement et le commencement dans
la fin.
C’est une architecture « ouroborique » (ouroboriste ?) si je puis dire, comme les cercles de l'écriture des Heptapodes, les visiteurs venus de l'espace.
Et que de mises en abyme et de rimes de contenu qui transforment l'œuvre en poème narratif !
Quel grand film, avec seulement quelques petits défauts hollywoodiens.
Voici une représentation d'un ouroboros sur un mausolée en Belgique :
C’est une architecture « ouroborique » (ouroboriste ?) si je puis dire, comme les cercles de l'écriture des Heptapodes, les visiteurs venus de l'espace.
Et que de mises en abyme et de rimes de contenu qui transforment l'œuvre en poème narratif !
Quel grand film, avec seulement quelques petits défauts hollywoodiens.
Voici une représentation d'un ouroboros sur un mausolée en Belgique :
Mais certains ressemblent davantage à l'écriture des Heptapodes :
Dont voici un exemple :
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