Ce dessin de (peut-être) Yayo, publié dans le plus récent numéro de « L'Actualité », me semble anticlérical.
Ce qui n'est pas pour me déplaire.
Car m'exaspèrent au plus haut point les jérémiades de ces prélats (exemple dans un numéro récent d'un quotidien ou d'un hebdomadaire local, de la part d'un évêque) qui se plaignent surtout, comme de tout temps, que « Noël » (comme ils appellent cette fête) est devenu un événement commercial plutôt que la fête de la naissance du (prétendu) sauveur du monde.
Ces prélats ne sont-ils pas les successeurs de ceux qui, pour rendre leur sauveur plus populaire, ont fait en sorte que l'on oublie la véritable date de sa naissance (au printemps, vraisemblablement) et l'ont transportée pendant les Saturnales, un événement commercial, pour le moins, où les mœurs les plus légères (voire outrageantes, jugeaient certains) avaient un cours légitime.
« Noël » (du nom qu'ils lui ont donné) continue simplement d'être ce qu'il était de toute éternité : la fête du retour de la lumière au solstice d'hiver, avec ripailles et autres excès obligatoires.
S'ils veulent fêter (avec recueillement et bla-bla-bla appropriés) la naissance de leur sauveur du monde qu'il la replace à la date où elle a véritablement eu lieu (s'ils le peuvent).
Et qu'ils se la ferment, ces successeurs de menteurs, menteurs eux-mêmes, coupables d'appropriation culturelle !
Ce qui n'est pas pour me déplaire.
Car m'exaspèrent au plus haut point les jérémiades de ces prélats (exemple dans un numéro récent d'un quotidien ou d'un hebdomadaire local, de la part d'un évêque) qui se plaignent surtout, comme de tout temps, que « Noël » (comme ils appellent cette fête) est devenu un événement commercial plutôt que la fête de la naissance du (prétendu) sauveur du monde.
Ces prélats ne sont-ils pas les successeurs de ceux qui, pour rendre leur sauveur plus populaire, ont fait en sorte que l'on oublie la véritable date de sa naissance (au printemps, vraisemblablement) et l'ont transportée pendant les Saturnales, un événement commercial, pour le moins, où les mœurs les plus légères (voire outrageantes, jugeaient certains) avaient un cours légitime.
« Noël » (du nom qu'ils lui ont donné) continue simplement d'être ce qu'il était de toute éternité : la fête du retour de la lumière au solstice d'hiver, avec ripailles et autres excès obligatoires.
S'ils veulent fêter (avec recueillement et bla-bla-bla appropriés) la naissance de leur sauveur du monde qu'il la replace à la date où elle a véritablement eu lieu (s'ils le peuvent).
Et qu'ils se la ferment, ces successeurs de menteurs, menteurs eux-mêmes, coupables d'appropriation culturelle !
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